Reconstruire Lévêque

En préambule...

Vous traversez, l'un comme l'autre, une partie de la Montaigne pour revenir en Lévêque de l'Aury. Vous avez affaire à un pays dévasté, divisé. Ceux qui ont fui et reviennent d'exil sont considérés comme des "traitres", des "lâches" par certains, qui sont restés. Les paysans et les nobles se sont parfois alliés pour soutenir une même cause. Des familles se sont déchirées...
1/ Vous traversez un village. La foule semble houleuse, vindicative. Que se passe-t-il ?
2/Dans un relais, vous assistez à un conflit entre deux nobles, l'un qui est resté, l'autre qui était en exil. Vous êtes pris à parti... et ?

1/ Il est arrivé un drame: un jeune homme a été retrouvé, la gorge tranchée, dans un sous-bois. Une "bande" d'anciens soldats a été vue, braconnant, le même jour, dans la région. Le raccourci est simple, la foule menace de leur donner la chasse.

(Si nous devons aller jusqu'au bout, Amaury se propose de les aider ; peut-être un rival en amour de la victime a-t-il profité de cette occasion pour l'éliminer. Les anciens soldats sont des déserteurs, dont certains ont fait San Juan...)

2/ ... et mince, je suis un déserteur, si on pousse le vice. Amaury tente une médiation et, s'il ne parvient pas à rétablir la paix, il leur propose de régler la querelle comme sil se doit : au point d'honneur, à l'aube ! Crédenom !

1/ Vous traversez un village. La foule semble houleuse, vindicative. Que se passe-t-il ?
Le noble qui les avait martyrisé pendant longtemps était de retour. Comme si de rien était, il voulu reprendre la direction de son manoir à deux pas du village. Voyant celui-ci vidé de tous ses biens, il est venus les chercher au village avec ses hommes d'armes. Mais en plus de ses biens il voulait lueur donner une bonne leçon. Deux de ses hommes venaient déjà de prendre une jeune femme en otage. Les villageois, hésitaient à avancer, et le noble fit le coq. Racontant son périple et comment il allait remettre les choses en ordre. Joren entendit son épée lui dire qu'il lui fallait de l'air. Alors, de la manière la plus noble qu'il connaissait, Il défia le chevalier de Méricourt en duel.
Victoire ! Mais les hommes du chevalier ne l'entendirent pas de cetet oreille, et avec l'aide des paysans, il dû faire un petit nettoyage de printemps. Une fois désarmés ou passé par le fil de l'épée, la situation était enfin réglée. Joren se présenta officiellement pour leur faire voir que tout noblesse de retour n'était pas mauvaise, et repris la route.


2/Dans un relais, vous assistez à un conflit entre deux nobles, l'un qui est resté, l'autre qui était en exil. Vous êtes pris à parti... et ?
Joren, n'est pas qui il est, il se doit donc de prendre le parti de celui qu'il est. L'exil a la primeur du choix. Après quelques envolées panachesques de noms d'oiseaux, les nobles en viennent au fer. De fait, Joren se retrouve comme témoin dans cette affaire. Malheureusement, son parti n'est pas gagnant, et l'acier adverse a trouvé le sang. La victime tombe en disgrâce e localement, ses vêtement ne sont plus que honte. Pas facile a porté. Cependant, Joren reste sur ses positions et même dans la poussière disgracieuse, il offre ses services de docteur au noble à terre.

Merci! 

Mon arrivée en Montaigne est des plus mouvementée. A croire que même Theuse se mêle à tout ce fatras. Car quelques jours après mon dernier combat, un orage à faire frémir Légion àretenti alors que je traversais la forêt. Heureusement je trouvai une vieille demeure de bucheron pour passer la nuit. Enfin, pas si seul. Car un montaginois est venu pointer le bout de son nez au même moment.
Nous avons donc dégouttés de conserve devant l’âtre nous réchauffant la carcasse. Cet homme est intrigant. Il a passé plus de 3 années en Castille, suite à la guerre castillo-montaginoise, il y a appris un style d’arme non reconnu par la guilde par ce qui semble être un maître et a rejoindre Muguet comme moi. Le Hasard (ou Theus) nous a mis sur le même chemin. Et encore, à ce moment là, je ne savais pas à quel point.
A peine deux heures plus tard, mon oreille fit la différence entre un coup de feu et le tonnerre. Il faut dire qu’une femme hurlait sa détresse aussi. Ni une ni deux, nous avons laissé nos montures au chaud pour nous rendre sur place le plus rapidement possible. Des brigands s’en prenaient à une calèche. Feinte, fente avant ! Ca c’était avant de me faire blesser sévèrement. Ensuite, un coup puissant terrassa l’individu et nous avons dispersés les voleurs comme un chien se roulant au milieu d’un jeu de quilles. Quelle ne fut pas notre surprise de trouver trois Sœurs, dont une sœur des « miennes ». Et une Sœur supérieur qui n’était autre que « ma tante » que je n’avais jamais croisé de mon existence. Il y avait aussi un homme avec une jambe de bois, Explorateur, et son fils adoptif, un Croissantin à la peau noire. Et aussi, une dame de voix, celle qui avait crée, la Comtesse.
Nous avons donc terminés la nuit à l’abri avant de pouvoir faire chemin jusqu’à la demeure familiale en lien directe avec mon nom de famille actuelle. Sur place, « ma » belle mère, devait accoucher. Ce qui se passa dès note arrivée. Pendant ce temps là, je croisais des yeux perçant, qui fendirent mon cœur fragile…. « mon » autre sœur. Voilà ou nous en sommes, aucune piste pour le moment, une sœur entrée dans les ordres qui n’est autre que l’ex-fiancée du militaire, et moi…amoureux. La belle affaire, il va falloir trouver des solutions. Mais des solutions, il y en a toujours non… enfin des, peut-être oint mais une, probablement.

Sans sa perruque!

 

Quels sont, en quelques lignes et de préférence schématiquement, vos objectifs dans la semaine à venir ? Je m'explique : les scénario, c'est bien, mais votre vie, c'est bien aussi...

m'installer "chez moi" comme un bon fils de retour. Essayer de fouiller discrètement la demeure pour voir si des lettrs n'ont pas été interceptées et arder un oeil sur "ma" belle mère.
Le reste je t'i parlé en direct de mon petit travail supplémentaire pour mes identités
 

ok, merci!

 Effectivement, la demoiselle est charmante.

Promis, un résumé dès que possible ; cette reprise avec nouveaux personnages, nouvel environnement, thème également neuf était... Excellente !

Bref, pour Amaury.

- D'abord réunir des affaires pour être présentable ; uniformes, certes, mais également quelque chose d'un peu plus mondain - tout de même. Et investir donc la chambre dans le manoir familial.

- Ces considérations faites, voir s'il est possible de s'installer ailleurs ; un pavillon par exemple, l'hôtel particulier attendra.

- Voir du côté des finances, ce que réserve l'avenir immédiat...

- Continuer de fréquenter la "Comtesse au clavecin" (elle a été aussi digne que sympathique) et la famille de mon ex-fiancée. Hum...  (j'ignore ce que fout cet emoticon à ce stade de ma réponse. Il est fun, voilà tout).

- Rendre visite à la cousine ! Et aux cousins !

- Fréquenter l'Académie, ça va de soi ; voir qui fait quoi, dans quelle armée, quelle forme elle prend, quelle organisation se prépare.

- Epauler ma sœur - un repas, une soirée pour discuter, creuser pour trouver des solutions. Ca nous changera des tombes fraternelles...

- S'entraîner, s'entraîner, s'entraîner...

Si avec ça on ne fait pas une semaine ou deux de vie

Amaury

De retour de Castille, sur les routes de Lévêque de l’Aury, l’orage frappe et ma monture n’est guère rassurée (à ce propos, tandis que l’averse nous cingle le visage, elle semble ne pas accepter le nom que je lui ai choisi le matin même – Robert).

Plutôt que de risquer une chute, de glisser sur la boue, j’avise une masure délabrée en bordure du chemin de forêt… Dans laquelle vient de se réfugier un homme, dont j’ai deviné la silhouette dans la pluie épaisse. La méfiance, hélas, s’impose en ces temps encore troubles.

J’avance donc vers la porte dégondée tel qu’on me l’a enseigné à l’école Nunez – pas mesuré, pas de précipitation, main assurée, le pied gauche en premier ! Nous nous faisons face. Il est blond, également apprêté au pire, main sur la garde.

Bon.

A croire que l’orage rapproche les gens : il revient de Vendel, je reviens de Castille, il me propose du fromage, excellent au demeurant, j’y accole du vin et du jambon cru. A l’âtre de la cheminée, nous passons un moment à nous jauger, non à l’aune de nos rapières, mais de nos manières. Retrait, jeu de jambe, quelques pirouettes… Se découvrir sans trop en dire. Il va à Muguet – nous irons ensemble !

Et au cœur de la nuit des détonations, une embuscade, une attaque de brigands sur un carrosse. Au sommet d’une butte, un Croissantin à la peau d’ébène, qui ouvre le feu sur les assaillants ; entre les sales pattes de ces malandrins, une noble personne. Nous nous fendons, répartition excellente des flancs ennemis, la surprise joue d’abord en notre faveur – j’excelle à encaisser les assauts ennemis, à les contenir. Mon nouveau compagnon traverse les rangs et fait sien le combat. Il est doué ! Et précis ! Sa connaissance de l’anatomie est… Dévastatrice.  

Du carrosse, après la défaite des hors-la-loi, sortent une jeune et noble personne et trois nonnes. Dont ma fiancée.

Forcément…

A suivre !

Abel
La demeure de "ta" famille a été mise à sac et squattée pendant la révolution. Tu peux trouver dans l'aile abandonnée du manoir des traces de passage : genre, des brigands se sont réfugiés ici, ily a des graffitis,, etc. Pas de secrets bizarres pour le moment. Ta belle-mère est épuisée par son accouchement et est assez entourée pour le moment.

Amaury:
Dans ta chambre, tu peux retrouver tes vêtements (un peu étroits et démodés). Les uniformes, en revanche... Tu as ton uniforme de cadet, mais c'est tout (et tu n'as pas de charge, donc tu n'es pas officier... et tu as déserté).
Non, tu ne peux pas aller ailleurs, pour l'instant les finances passent dans la réfection du manoir + le nécessaire pour ton frère qui est censé partir à Charousse.
Côté finance : tu peux compter sur 150G par mois pour le moment.

Tu peux éventuellement envoyer un billet à la comtesse Anne-Lise de Val Fleury et elle sera ravie de te convier à une matinée (petite la matinée...)
Quant à la famille de soeur Espérance... il suffit d'envoyer un messaqe, tu seras reçu avec enthousiasme.

Jacques : ne peut pas forcément te recevoir tout de suite. Et sa sœur n'est pas ici, mais à Lierre-Vallée.

A l'Académie, tu peux croiser le dirigeant des lieux, Yves Lévêque de l'Aury, général chargé de commander les troupes montaginoises durant le siège d'El Morro, il est rentré en Montaigne pendant la Révolution. Maître stratège, il a pris la place vacante de dirigeant de l'Académie et a réussi à tenir en laisse tout le monde... Rien n'a changé. Et juste pour rappel : tu peux si tu veux passer à l'académie, mais tu as fini tes études...

j'aime beaucoup le "pour le moment"

Merci !

Allons-y pour une petite mâtinée chez la Comtesse, une visite dans la famille de Sœur Espérance, un passage à l'académie et envisager, à terme, un voyage à Lierre-Vallée  

Tout prend doucement place. Malgré la fouille faite chez ma "belle-mère" je n'ai rien trouvé qui me laisse penser qu'elle est coupable. J'ai tenté le cabinet de mon père (oublions les guillemets à force tout le monde à compris), mais ma sœur est arrivée à ce moment là.
Elle ne me parlait presque que ce ce montaginois revenu de Castille, comme il était plaisant et blabla... J'ai donc pris les choses en mains. Je lui ai demandé de laissé à notre autre sœur un mois, le temps pour elle de voir si elle était toujours amoureuse de lui. Et moi pendant ce temps là, j'aurai du temps à passer avec elle....aaaahhhhh. Qu'elle bonne idée j'ai eu là.
Je suis l'homme de la situation, le frère qui peut la prendre dans ses bras... quels frissons !
Et puis il y a eu ce pique nique avec ces autres nobliiaux / bourgeois du coin. Amical; Jusqu'à ce que ma sœur tombe sur un cadavre déchiqueté par une bête. que dis-je LA bête. Un monstre venu de l'autre côté de ce que l'on dit. Je note surtout le simple plaisir de tuer, puis laisser le cadavre derrière soi. Étrange.D'ailleurs le lieutenant de police venu sur place (qui n'a pas l'air heureux dans la vie) en a déjà assez de cette histoire. Bref il a fallu ramener ma sœur à la maison.
Nous sommes partis avec un sujet de conversation, quelques frémissements en plus, et pourquoi pas une idée à transmettre au Chevalier Muraille pour un de ses livres.

Que ma vie est compliquée !!!!
Voilà que je trouve que dans le passé du Baron Abel-Bazas, mon défunt ami, une Dubois-d'Arrange a été assassinée sous ses yeux. Tois coupable, dont un Monfort (parti en mer et soit-disant mort), un Macray (comme le héros local qui tourne autour de la Soeur/soeur du baron (qui aurait même pu, de ce que j'ai appris, faire tourner la tête de celle-ci loin de son fiancé de l'époque), et un autre Lacroix, d'une famille a priori pas reluisante. J'ai été fouillé les archives du palais de justice, mais pas grand chose a part les condamnation et le fait que la malade Irène Lévêque (muette depuis la révolution) protégeait la victime de l'époque. Peut-être pourrais-je en apprendre un peu plus par là sous peu. cette affaire avance lentement, mais je reste persuadé qu'lle est en lien avec les agresseur de mon défunt ami, et ceux qui nous ont attaqués, le baron de Monfort et moi-même. Peut être que des bourgeois reconvertis en brigand veulent nos tête ...
Puis nous sommes partis vers Lierre vallée. Une idée saugrenue d'un pavillon d'hiver dans le jardin familiale m'a permis d'emmené ma jeune "soeur". J'aurai tout fait pour être près d'elle. Néanmmoins cette femme est commeun bon feu d'hiver dans le nord de la Vendel, c'est vital, on a envie d'y rester longtemps très proche au pooint de parfois s'y bruler. Ah, cette nuit ou elle est venu dans mon lit après un cauchemar était atrocement belle, horriblement sublime. Jouer le r^^ole du grand frère est un fardeau parfois. Aimer une femme qui, à cause d'un serment, j en epuis dévoiler ma flamme; La séduire, tout en restant son frère adoré. Un jour viendra où la véroté éclatera. M'en voudra t elle de ces cachotteries , Comprendra t elle que j'ai fait un serment qui m'oblige à mentir ? M'en voudra elle de duper tout le monde pour la mission que je me suis donné devant Theus ?
En attendant nous sommes sur la route de Lierre Vallée, ou un Comte s'est fait dépouillé de tout (femme et enfant compris) par une bande de brigands menés par un dit "le capitaine" qui pourrait très bien avoir le nom de "boucher de san juan". Affeux, mais pour le moment nous ne pouvons pas faire grand chose. Que peuvent deux hommes et deux femmes face à 20 tueurs ? Tellement de chose, mais que puis-je devant celel que j'aime si 20 tueurs arrivent : la protéger envers et contre tout ...
Aller, continuons cette route, et prenons des notes pour le prochain livre du chevalier Muraille !  

Tout compte fait il y a eu "l'appel de la forêt" ou en tout cas du bruit dans celle ci. Une agression de paysans affamés réglée, nous nous dirigeâmes vers les véritable vivier de cruauté. Sur plac e, le dit Capitaine, cruel et sans merci calmait certains de ses hommes en en trucidant d'autres; Et nous, oui nous, séparés en deux groupes chacun du même sexe, on se jetait dans la gueule du loup (sans mauvais jeu de mot en rapport au récent événements), pour aller secourir la veuve du noble que nous avions croisé.
Et oui, elle n'était tout compte fait pas morte. Ni une ni deux, aidé par ma sœur,, le baron-soldat et sa propre sœur, on sauva la belle. Elle était en piteux état c'est Julie-Rose. Mais à force de diversion et de course de vitesse, nous nous en sommes sortié un peu blessé et avec un bon sac de poudre d'escampette à prendre.
Quelques jours plus tard nous arrivons à Lierre Vallée. Ses lys, ses rues pavées.... ses surprises.

to be continued.  

Bisou bisou!!!

bon, heureusement que je ne jette pas mes scénarios à la poubelle, parce que si je comptais sur vous pour des résumés, hein...   

bah désolé, j'essaye de rassembler mes bouts de mémoire et je me colle à la suite....

 merci....

- visite à l'hospice houleuse : rencontre avec une vendelar "en fuite" qui me "reconnait". Après pas mal d'échange nous convenons qu'elle peut rester naïve et partir en vodacce prévenir le Prince Villanova de quelques secrets vendelars.... Je lui offre mon soutien, au moins moral. Plus tard en revenant dans l'hospice je la croiserait de nouveau ainsi qu'un malade atteint d'une étrange maladie proche de la peste blanche. Mais de maladie point, le salopio' est un assassin engagé pour tuer la maîtresse des lieux. Nous arriverons à lui sauver la vie de justesse et le criminel est en fuite. Et surtout très doué avec ses couteaux.

- ma sœur : toujours une relation compliquée, gérer la distance fraternelle comme elle se doit d'être la convaincre de ne pas lancer de recherches sur "mon" passé, etc. Il m'en reste un baisé volé au détour d'une de nos escapades en forêt, à croiser un fantôme et me laisser sur le carreau. petite pulsion d'un instant dont je suis heureux.

- Lierre Vallée : nous avons quitté la ville après avoir recueilli tulipes et autres emplettes, en plus d'une veuves et de sa nouvelle identité vengeresse. l'assassin à pris la fuite (probablement vers Muguet) après un âpre combat, qu'on ai remonté sa piste dans les bas-fonds de la ville et que nous nous soyons donc un peu sali les bottes. Mais nous sommes fort et fier, un peu trop certains. la ville a aussi attisée les conflits fraternels du couple qui nous accompagnait, conflit basé sur une histoire d'argent, de responsabilité et de dos ronds à faire sous l'autorité paternelle. J'ai déjà assez de mal à gérer mes problèmes de famille, je ne m'implique donc pas trop. Pendant ce temps là, monsieur de retour de Castille entraine la veuve dans le métier de l'acier. Et entre parenthèses, nous avons réussi à conclure un accord sur mon métier de médecin : je décide quand il est bon de soigner, sinon je ne soigne pas car je ne suis pas une machine à pansements.

- Muguet : bientôt de retour à la vie "normale" j'ai repris mon écriture et me suis lancé dans quelques courriers aventureux. Peut être vais je trouver d'autres éléments sur SA mort. J'ai l'impression que la famille de mon compagnon d'armes en est la clé, mais il n'est pas très bavard sur le sujet.... et sa famille à l'air d'avoir fait le ménage des personnes s'en étant pris à "moi" pendant mon enfance. Du coup, qui pourrait être derrière mon retour en ville ? Les recherches continuent.

merci, au moins je ne m'étais pas trop plantée!

Voire pas plantée du tout, j'imagine !

Effectivement, sur le chemin menant à Muguet, nous avons croisé la route d'un Epoux Indigne, qui, agressé et sa famille décimée par des brigands, avait reçu un accueil amical et humain.
Notre petite troupe, quoi.

Or... Or ce vil a vendu son épouse aux marauds, en échange de quoi ? Un peu de temps à vivre. Leur fille et eux étaient en quête d'un trésor, dont il avait quelque soupçon de le trouver dans la région.

Suite à un assaut fort bien mené, nous avons libéré la dame (et qui a eu l'idée de se rendre sur place ? Je vous laisse deviner). Fort mal en point. Malmenée, pour être courtois.

Une fois à Muguet, elle nous a révélé l'existence de ce trésor, nous avons décidé de l'aider dans sa vendetta, ne serait-ce qu'en dénichant ce trésor.
Ma cousine, Irène-Coeur, que je devais convaincre de revenir au girons familial, a refusé. Ce furent des retrouvailles d'abord glaçantes. Abel-Bazas a donné du sien à l'hospice de Madame de la Vallée, à qui j'ai remis le colis que m'avait confié la Vi-Comtesse.

Las... Entre deux expéditions pour faire main basse sur ce trésor, ponctuée de fantômes, j'en frissonne encore, l'hospice a été attaqué ! L'assassin m'a (un peu) égorgé et a fait quelque numéro de charme à ma sœur. Grrrr. Nous l'avons traqué jusque dans les bas-fonds, chez le dentiste.

Et, finalement, nous avons trouvé ce trésor, fréquenté un charnier, convenu de donner des leçons d'escrime à la Dame. Ma soeur a décidé de la somme que nous partagerons, sans prendre la peine de me consulter. C'est un travers familial, ma parole !

Madame la Vengeresse a décidé de me payer, déjà de quoi me vêtir convenablement. Cet état de dépendance, en plus des bûchers organisés autour des corps que nous avons sortis de terre, c'en était un peu de trop. Trop de... Souvenirs.


Bref, le retour devait être... tendu.