[Magna Veritas] Saison 1, épisode 1 : espace joueurs

Un dénommé Ailean m'a promis un résumé au plus vite...
... mais ou est-il donc encore passé ?
moi qui piaffeuh d'impatienceuh... :P

mendoza a écrit:

Un dénommé Ailean m'a promis un résumé au plus vite...
... mais ou est-il donc encore passé ?
moi qui piaffeuh d'impatienceuh... :P

Pareil ça vient ça vient

Février 96 ; Si ils savaient comment on s'amuse ici...

Nos amis sont donc convoqués comme d'habitude par leur honorable et non moins aimé supérieur direct : Jean Lammèche (grade 2 de chez Dominique).

Après les salutations d'usage entre Bruno Navaron et son ancien collègue, ce dernier leur confia une mission simple ; on a un problème avec un tueur de prêtre. Donc vous allez illico presto à l'Eglise Saint Jean-Baptiste dans le XIIème et vous retrouvé ce tueur. On a bloqué l'arrivé de la police pour une heure alors magnez-vous. A tient au fait, je vous présente un nouveau membre de votre "si exceptionnelle" équipe, Jean-Claude Da Rocha de chez Janus.


--------------------------
--------------------------

Arrivé sur les lieux, la scène de crime était on ne peut plus évidente. Une énorme marre de sang recouvrait les marches menant à l'hôtel et au milieu de cette marre une main avec au doigt une bague épiscopale. Juste à côté de cette main, une figurine de power rangers ; et plus précisement Billy, le ranger bleu (la précision qui tue). Bruno s'empara de l'objet et activa son pouvoir de psychométrie. Ainsi il put regarder les dernières images de l'objet ; un garçon à casquette et sweat bleu, ce garçon pénétrant dans l'Eglise, une femme d'assez forte taille hachant le pauvre prêtre à la hache et le garçon s'enfuyant. Travis en sortant remarqua un parc faisant face à l'eglise. Après un bref interrogatoire (pas discussion c'est un ange de Laurent quand même), il apprit que le gamin ne serait là que demain comme à son habitude entre 16h00 et 17h00. Ensuite ils menèrent des investigations poussées avec les autochtones du quartier qui se résumait la plupart du temps à savoir si il voulait un costume sur-mesure ou un saké... Au moins, ils établirent que le tueuse était une femme d'une certaine corpulence qui venait à la même heure et à la même place.

Le lendemain, ils se pointèrent donc au parc où ils durent affronter probablement leur pire ennemi : le gamin capricieux de sexe mâle. Avec lui rien ne semblait marcher entre le copinage et l'intimidation, les seules reponses que les anges reçurent furent t'es vilain toi, même pô peur, que quand j'aurais une glace, non pas celle-là... Seul une lecture de ses pensées permit de savoir que c'était bien lui avait assisté à la mort du prêtre. Mais un cri d'enfant provenant d'un peu plus loin dans les bosquets mis fin à leur enquête. Ils se précipitèrent tous pour voire une petite fille hurler à la mort que l'on venait de kidnapper sa soeur. Après avoir réussi à faire dire à la pleurnicharde la direction vers laquelle c'était enfui la kidnappeuse, les anges se mirent à sa poursuite. 5 minutes plus tard, 4 des 5 anges se retrouvèrent face au bac à sable. Visiblement, ils s'étaient égarés.

Seul le nouveau venu poursuivait la bonne piste. Il eut juste le temps de voir la femme monté dans un break avec la gamine s'enfuir. Heureusement un livreur de pizza pointa le bout de son scooter. Après un coup de seton retourné, il s'empara du précieux engin et se lança à la poursuite de la ravisseuse. Il menait son engin tambour battant mais voilà à peine avait-il recollé à sa poursuivante que celle-ci freina un grand coup et le pauvre ange de Janus se retrouva collé à la vitre arrière. Embrassant le bitume, il ne put faire qu'observer la fuite de la voiture.

Ailean a écrit:

Février 96 ; Si ils savaient comment on s'amuse ici...

Nos amis sont donc convoqués comme d'habitude par leur honorable et non moins aimé supérieur direct : Jean Lammèche (grade 2 de chez Dominique).

Comme quoi il faut se taper



pour pouvoir apparaître en guest star dans INS...
Je crois que je commence à comprendre le systême !

Question : c'était déjà Baroin avant qui faisait Jean Lamèche ou il a bénéficié lui aussi d'une promotion canopy ?

La suite ! la suite !

mendoza a écrit:

Question : c'était déjà Baroin avant qui faisait Jean Lamèche ou il a bénéficié lui aussi d'une promotion canopy ?

Disons qu'il a profité de sa récente nomination pour apparaître mais le genre de Jean Lammèche (ignoble parvenu au service de Dom') était déjà dans l'esprit...

[Embrassant le bitume, il ne put faire qu'observer la fuite de la voiture...]. Maintenant nos anges connaissaient le modus operandi du tueur et après avoir fait le tour des boutiques de la rue pour établir un profil ; ils aboutirent à un portrait robot de la serial killeuse : Une femme d'une quarantaine d'année assez forte habillée d'une côte de travail verte et se garant presqu toujours à la même place.

Ainsi donc le lendemain nos anges avaient mis en place un piège diabolique. Chacun se tenait de manière à quadriller tout le parc. A l'heure H, l'horrible femme montra le bout de sa botte et nos anges se jettèrent sur elle. Malheureusement elle réussi à s'échapper et une folle course poursuite eu lieu dans les rues de Paris. Celle-ci s'acheva dans un quartier résidentiel de Paris, face à une maison très quartier résidentiel avec le jardinet, les nains de jardin et tout et tout. Les armes à la main, ils investirent les lieux défonçant toutes les portes et menaçant d'hypothétiques occupants. Le résultat, il n'y avait personne dans cette baraque. Pire que ça, il semblait même que cette maison n'ait jamais été habité. Pas de meubles, pas de décorations ni de bouffes dans le frigo, une vraie maison fantôme en somme. Mais il restait une porte qui n'avait pas été ouverte celle de la cave. Celle-ci ne resista pas longtemps et à son ouverture, les anges furent limite congelés sur place. Il faisait un froid de canars en bas. Les escaliers descendus, ils comprirent la raison de ce froid. La cave n'était autre qu'un immense frigo digne de la plus grande boucherie de Paris avec les crochets au plafond, les multiples frigos...

Mais voilà toujours pas la moindre trace de cette espèce de psychotique voleuse d'enfants. Les choses se compliquèrent quand ils remontèrent à la surface. Par la fenêtre, ils virent les lumières des gyrophares de la police et une voix leur hurla par l'hygiaphone : "Ici le GIGN, vous êtes en état d'arrestation. Rendez-vous et tout se passera bien".

Kraan faisant parti du R.I.S. sortit le premier sa carte à la main. Il passa outre le premier avertissement en déclinant son identité et récolta comme seule réponse une balle dans le genoux. La diplomatie ayant fait ses preuves, Bidou aiguisa sa hache et defonça la porte d'entrée ayant activé son armure d'or. Au diable la discrétion, il n'y aura de toute façon plus de témoin. Le GIGN voyant ce fou se ruer sur eux l'allumèrent de leur FAMAS. Bidou n'en revint pas. Les balles au lieu de ricocher le transpercèrent. Sa peau n'était plus d'or mais redevenu normal. Loki, décida de la jouer plus discrète et de prendre la voie des airs en forme gazeuse. Mais voilà à peine avait-il defoncé la fenêtre du premier étage qu'il s'écrasa lamentablment sur le sol. Sa forme gazeuse avait mystérieusement disparu. Les deux anges restant se rendirent donc au forces de l'ordre et tous se retrouvèrent à la prison de Créteil en attente de leur jugement pour le meurtre agravé sur 14 jeunes enfants...

Eh oui.
Y a des jours, j'vous jure.

franchement ! des anges qui se prennent une peignée par des rigolos du GIGN... mais quelle honte !
z'ont bien mérité de finir au trou, na !

Pendant que nos amis angéliques goûtent aux quenelles servies en Prison, à l'extérieur la presse s'en donne à coeur joie. Face à la pauvreté des actualités de ce début d'année 97, une bonne boucherie était du pain béni pour le Nouvel Investigateur, Voiça, Ici Panam' et France Lundi. "La maison de l'horreur" fait la une de tous les journaux et on commence à rechercher le passé des suspects et on en vient mêmeàécrire en trois colonnes à la Une que des crimes aussi abjects que similaires auraient été perpétrés chez l'Oncle Sam.

Dans leur petit 10m2 pour trois, nos anges se retrouvent seuls, déséspérement seuls, sans avocats, ni contact avec la hiérarchie et se demandant où cet espèce de complot allait se terminer...

Ils étaient bien loin de se douter que ce complot allait les conduire dans la prison de StatesVille, Illinois. Hein quoi ? Et oui les voilà aux USA où des gardiens ma foie très sympathique les accueilleront comme il se doit à grands renforts de cris et de sermons bien religieux. Clairement, ils seront traités comme de la merde. Mais voilà on ne la fait pas à Bruno Navarron. Face à cet expression de l'oppression dans sa forme la plus primaire, il se rebelle, peste, hurle, vilipande puis tape... Grave erreur car ses pouvoirs ne sont point revenus et les matons sont fort beliqueux et encaissent sans broncher les coups d'un ange. Bidou et son ange de Michel decide de participer aux rejouissances et tous deux se retrouvent dans une cellule d'isolement humide, sans nourriture (sinon celle que les gardiens font tomber négligemment dans la boue) et avec pour compagnie les cafards.

Les autres anges eux font donc la connaissance de leurs futurs compagnons de jeux...

Cet établissement n'a aucune classe.

Faisons un court résumé que mes joueurs pourront enrichir à leur guise.

Face à eux une prison, des détenus pas vraiment sympathiques qui comptaient bien en faire baver à ces petits nouveaux, des matons à la matraque légère, une sympathique cellule d'isolement & une mission ma fois pas trop compliquée... De ça qu'ont-ils fait ?

Un trafic de drogues en profitant d'une matinée en isolement pour confectionner une drogue hallucino-décapante.

Une bataille rangée dans la cantine entre les adeptes du bras droit tendu et les autres.

Plusieurs séjours en isolement et à l'infirmerie dont un relativement long pour dilatation de la muqueuse anale

Une rencontre avec un gamin limite psychopathe

L'utilisation des pouvoirs très très aléatoire

ET finalement la résolution de l'énigme de ce film d'esthète avec des caméras achetés par les irlandais lors du tournage de Tueurs nés dans la prison; la découverte du seul protagoniste encore vivant et de la libre circulation de la drogue dans cet établissement totalement recommandable & aussi le réel rôle de StatesVille : Incarcérer des Anges ayant fautés et les tenir à l'écart en attendant d'en savoir plus sur leur avenir.

Un scénario bien sympthique avec quelques scènes mémorables...

Quand à choisir entre ces différents malheurs subis à mon corps évidement défendant dans la zonzon, je garde les miens: le mitard et la baston.

Certains (beaucoup?) d'anges n'ont d'angéliques que la carte professionnelle (Je sais, Ailean, les anges n'ont pas plus de carte professionnelles que de gyrophares sur le crâne, ce qui reviendrait au même).

Il y a des jours où c'est pas facile.

Loki a écrit:

Certains (beaucoup?) d'anges n'ont d'angéliques que la carte professionnelle.

Et encore vous n'avez rien vu :evil:

Un petit teasing pour la prochaine partie du 1er Septembre

...TEASING...

welcome to the great match Michel VS Baal ? :mdrbis:

fablyrr a écrit:

welcome to the great match Michel VS Baal ? :mdrbis:

Plutôt

Pour qui sonne le Gland ?

Nos anges sont convoqués à l'aéroport d'Orly pour une fois pas par leur sympathique Jean Lameche mais par un ange d'Yves sapé comme un hybride entre l'iconographie classique entre Dieu et Zeus, avec la toge blanche, la barbe et tout et tout...

Leur mission est très simple : Tuer Adolf Hitler. Cet humain pur souche a sérieusement pété les plombs et il est temps de mettre fin à ses jours par la main même des agents de Dieu. Ils vont donc être parachuté dans la peau de soldats américains à quelques kilomètres de Berlin et trois jours avant son "officiel" suicide soit le 27 avril 1945.

Bruno Navarron va donc en compagnie d'un ange de Michel et d'un ange de Georges participer à l'un des plus grands moments de l'Histoire de la seconde guerre mondiale : la chute de Berlin.

Mais voilà ils n'allaient pas être seul. En effet au même moment et de l'autre côté de Berlin, un Viking et une Walkirie allaient devoir remplir la même mission dans le corps de 2 soldats SS de la division Wiking.
Voici les 2 persos de Kraan version Blonds, cheveux longs et bière :
...

_________________
-------------------------

Avant de se lancer dans la narration de cette partie, un peu de géopolitique.

Les anges sont à l'ouest de Berlin là où il n'y a absolument plus personnes ou presque. Les forces alliés sont à 150 Km de là donc pas la peine d'attendre une quelconque aide de ce côté là. Plus personne à l'OUest car tout le monde est requisitionné pour contrer le front russe fort de plus de 2 millions d'hommes appuyé par des frappes aériennes récurrentes. Les russes sont un peu beliqueux suite à la bataille de Moscou et à la politique de la Terre Brulée insaturée par Hitler. Kraan lui se trouve derrière les lignes russes qu'il va devoir traverser avec son bel uniforme SS.

Dans Berlin, tout ce qui peut tenir une arme en possède une : femme, enfant et vieillard. Ces forces sont encadrées par les quelques militaires encore sur place. La ville vit dans un climat de peur omniprésente avec des pics d'adrénaline lors des assaults aériens. Plus personne ne croit en la victoire du troisième Reich et les gradés ne cautionnent plus les décisions de leur fuhrer. Donc voilà en bref ce qu'il fallait savoir.

Les joueurs, eux, allaient être confronté à une bien terrible énigme : Où se trouve le fameux Fuhrerbunker ?

Donc voici l'assez bref résumé de ce qu'il s'est passé du côté de Berlin en Avril 1945.

Evidemment pour nos anges la tâche ne fut pas aisée surtout d'ailleurs pour Bruno Navarron qui se retrouva suspendu à une branche d'arbre à peine quelques minutes après le début de la mission. Une patrouille allemande massacrée plus tard à grand coups de Bar .30-06 et de pouvoirs bien offensifs puis dépouillée de leur attributs vestimentaires, nos anges pénétrèrent dans un Berlin bombardé.

Sur le front Est, le pauvre Kraan se retrouva fort dépourvu lorsqu'il découvrit que ses armes avaient disparu juste après son départ du Walhala. Heureusement pour lui, 3 nains (Tim, Tam, Tom) ont ses armes. Mais ceux-ci sont pourchassé par des géants (des démons pour les Vikings) et se sont réfugiés dans un coffre géant avec les armes de Kraan. Celui-ci se retrouva bientôt face à 4 géants armés avec comme seule aide sa compagne. Le combat tourna rapidement à son désavantage et il dût faire appel à la puissance des Berserkers pour entrer dans une transe meurtrière. Il occit les démons mais sa rage n'était pas tarie et il commença à meuler sa compagne. Odin intervint avant qu'il ne lui porte le coup de grace et ainsi ils purent prendre la direction de Berlin. Le couple de Viking passa sans grande difficulté entre les lignes russes et leurs uniformes de SS, leur ouvrit les portes de la cité. Là ils apprécièrent la tension régnant dans la ville. Tous les civils capable de porter une arme (enfants, femmes et vieillards) en reçurent une et ils doivent désormais défendre leur vie et le Reich contre une horde de Slaves bien décidé à venger la bataille de Moscou et la politique de la Terre Brûlée pratiquée par la Fuhrer.

Les anges déambulaient pendant ce temps dans le coeur de ce troisième reich mourant en se planquant à la moindre alerte afin d'éviter de se prendre une bombe larguée par les avions russes. C'est ce qui faillit arriver d'ailleurs à Bruno Navarron mais encore une fois il s'en tira bien...
C'est alors que Kinder, l'ange de Georges reconnu une femme emmenée manu militari par deux hommes en uniformes noires propres à la gestapo. Il lui semblait connaître cette femme depuis des temps immémoriaux mais ses souvenirs étaient flous.

Toujours est-il que les anges prirent la suite des soldats sans se méfier qu'eux-mêmes étaient suivi par deux soldats SS. Les agents de la Gestapo pénétrèrent dans une maison gardée par deux soldats. Ils attendirent une nouvelle alerte à la bombe et profitèrent que les soldats se réfugièrent dans la maison pour y entrer à leur tour et réduire les menaces éventuels à néant. Les soldats ennemis raides morts, les anges se rétournèrent et virent deux soldats SS aux cheveux longs et blonds visiblement pacifiques même si la hacjhe trônant aux côtés de l'homme n'incitait pas déclancher les hostilités. Après quelques moments de flottement, (l'homme ne parlant que Norvégien, les anges devaient s'adresser à la walkyrie afin que celle-ci traduise), ils se rendirent compte qu'ils avaient le même objectif. Ils décidèrent donc d'oeuvrer de concert.

Dans les sous-sols, ils découvrirent la femme attachée et torturée par les soldats de la gestapo ce qui provoqua la fureur (sans mauvais jeu de mot) de l'ange de Georges qui se mit en transe meurtrière lui-aussi et réduisit les hommes en noirs en steack tartare non préparé.

Ils mirent un certain temps pour ne pas dire un temps certain à trouver l'entrée de FürherBunker (caché dans les jardins de l'ancienne chancellerie) et c'est l'ange de Georges qui remarque une sorte de tour qui n'avait vraiment pas grand chose à faire dans un jardin d'hiver. Une fois dans les couloirs du Bunker, ils eurent maille à partir avec les escouades de la division SS "Charlemagne" spécialement dédiées à la protection du moustachu. Ils faillirent tous mourir au moins deux fois (surtout quand Kraan rata son tir de roquettes en plein couloir, bonjour les dégâts collateraux). Puis, ils arrivèrent enfin dans le centre névralgique du bunker où ils eurent quelques difficultés à tuer Martin Bormann chef d'orchestre occulte du troisième Reich dans les dernières années et aussi Sorcier de formation mais surtout face à Goebbels (démon de Malphas comme par hasard qui faillit bien plus d'une fois retourner les joueurs les uns contre les autres) et le Général Krebbs, démon de Baal de son état.

Toute résistance annihilée, la mort d'Adolf Hitler, symbole que même un humain sans influence des deux autres parties peut devenir la pire des raclures, ne fut qu'une simple formalité. Les joueurs furent récupérés par leur hiérarchie respective quelques heures plus tard et L'Archange Georges (même mis au placard) fut tellement content de son serviteur qu'il lui fit parvenir une dent de Dragon véritable du Vè siècle arrachée par Georges himself...

La suite le 4 novembre

Ah, que ça doit être jouissif de faire ça. Tuer le moustachu...

kraaan trop fort le lance roquette dans le couloir. T'as un coté shwarzy dans commando

[img]

:mdrbis: :mdrbis:

[Cours public] ou Dracula s'égare à Henri IV

Nos anges se remettait tranquilement de leur balade dans le passé et de leur intervention ma foie fort musclé pour clôre une bonne fois pour toute le châpitre du petit moustachu fou.

Jean-Claude Da Rocha, brave ange de chez Janus Archange des voleurs, rangeait bien tranquilement sa nouvelle Rolex recemment gagné lors d'une saisie administrative d'une bijoutrie dans les quartiers rupains de Panam' quand le téléphone se mit à sonner.

"Salut, tonton des îles comment ça va ? Ca fait une paye qu'on t'a pas vu dans la métropole...!!! Toujours pas casé, si ce n'est avec encore une des poulettes. Comment elle s'appellait la dernière Béatrice ou Sorsha, je sais même plus...!!!". Cette première phrase prononcée par la voix d'une jeune femme sortie de l'enfance mais pas encore dans l'âge adulte le décontenança.

"Heuh, ouais, beh c'est que heu, j'avais pas mal de boulot ces temps-ci" bafouilla-t-il

"Et bien je t'ai connu plus loquace... Tu ne me demandes même pas comment ça va ? Tu n'aimes plus ta nièce favorite, ta petite gabrielle à toi".

Jean-Claude eut beau fouiller la mémoire résiduelle de son corps d'accueil aucun souvenir d'une quelconque famille proche ni d'une quelconque cousine mais parfois les souvenirs s'effacaient souvent lors d'un incarnation angélique.

"Heu si Gabrielle, comment vas-tu, toujours en... euh au... Enfin toujours au même endroit quoi ?"

Spoiler:

"Ouais j'suis toujours à Henri IV ou p'tain j'me fais chier grave. T'as vraiement eu une super idée de conseiller mes parents sur ce bahut. Non mais il t'est passé quoi par la tête sans déconner. Ouais enfin bon j't'appelle à propos d'un truc un peu zarb' qui arrive à ma voisine de piaule. Tu sais j't'en avais parlé Catherine Sadron, la coincée du cul. Ca fait bien quelques semaines qu'elle traine un truc, une sale grippe ou un truc comme ça mais là elle est carrément blême à la limite d'un Michael Jackson. Et il y a deux nuits alors qu'elle se levait pour se prendre un verre d'eau, j'ai remarqué sur sa gorge deux petites plaies circulaires au niveau de la jugulaire. Et tu sais elle commence à me foutre vraiment les boules alors comme tu m'avais dit que si jamais j'avais besoin d'aide u jour, j'hésite pas à t'appeller et beh voilà j't'appelle. Tu penses pouvoir venir hein, ça s'rait cool ?"

"Oui t'inquiètes pas. Je finis deux ou trois trucs ici et j'arrives. D'ailleurs je risque de venir avec des potes à moi histoire qu'on règle au plus vite. Allez te bile plus, Tonton des îles est dans la place".

Un crochet par Notre-Dame et le bureau du sympathique et aimable supérieur et pourvoyeur de mission : Jean Lamèche

qui comme à son habitude ne put contenir un élan de sympathie :

"C'est quoi encore que cette mission foireuse que vous voulez que j'acrédite, un vampire à henri IV et pourquoi pas un nabot comme président de la république tant qu'on y est... Et en plus vous voulez que je convoque avec vous les tacherons habituels et ce moins que rien de chez Ange mais bien sûr et un p'tit café là-dessus. Vous me copiez ces formulaires en trois exemplaires sans carbone et vous avez interêt que tous les tampons y soient sinon..."

Ainsi donc nos Anges (Loki, Kraan, Bidou ainsi que Anthony (Janus), Samuel (Georges) et Aurélien (Jordi)) se retrouvèrent à 10h00 du matin devant les portes du somptueux, de l'elitiste et non moins bourgeois, Lycée Henri-IV où une jeune demoiselle de 17 zns, vive et pétillante, suivant une mode post-Madonnesque, habillée en noir avec des crucifix en masse et des décolletés plongeants ; à savoir la fameuse nièce de Jean-Claude : Gabrielle "Gaby" Léonard

Pour faire rapidement car mes souvenirs se sont un peu estompés de cette mémorable partie voici brievement ce qu'il s'est passé et ce qu'il faut retenir de cette escapade au sympathique lycée Henri IV.

Nos anges se sont tout d'abord attablé à la découverte du lieu et principalement à l'internat, lieu des exactions sus-cités. Henri IV n'ayant jamais eut beaucoup d'internes (seulement 10 cette année), leurs chambres sont installées au second étage de l'aile ouest dans des couloirs sombres et humides entre les trous béants dans le plâtre et les posters déchirés, dans d'anciennes classes aménagées certes très confortable mais à l'extérieur ma fois fort glauque... Les pensionnaires, issus tous de familles aisées, n'ont aucin problème d'argent et voici les chambrées :

Chambre n°1 :


Chambre n°2 :


Chambre n°3 :


Chambre n°4 :


Chambre n°5 :

Les dix jeunes gens sont tous en terminale prépa Khâgnes... Une rapide enquête des lieux n'apporta rien à nos anges mais en parlant avec le directeur, Bruno Navarron réussit avec brio à décrocher un contrat pour le reste de l'année entre son restaurant et le réféctoire de Henri IV. Il perd pas la tête quand il s'agit des affaires le Nono...

Après un suivi poussé des moeurs de nos adolescents, Jean-Claude trouva que sa nièce menait une vie assez éloigné des préceptes de la Bible à aller coucher avec un adolescent (Renaud d'Arc) hors des liens sacrés du mariage et faire le mur pour écouter du métal dans des salles obscurs (A savoir Carpe Noctem mais aucun des anges n'a souhaité accompagner la petiote dommage...). Il voulu la remettre dans le droit chemin mais sachant que pas mal de starlettes défilaient dans sa propre couche, il eut du mal à paraître crédible dans la défense des bonnes moeurs...

Ils découvrirent aussi que le sympathique Hervé Louis, véritable terreur du bahut, se livrait à un petit traffic de drogues avec certains des élèves et rackettaient les autres... Kraan et Aurélien se décidèrent à adopter la loi du talion et se mirent à tabasser le gamin pour lui soutirer sa drogue et sa tune. Hervé Louis se trouva comme un con quand il se trouva plus tard face à son dealer à qui il devait la taxe professionnelle de revente de substances illicites et malheureusement la discussion tourna court pour le pauvre Louis

Mais voilà certes ils avaient pas mal avancé sur des tas de problèmes annexes mais ils n'avaient toujours pas trouvé le pourquoi du comment de la "vampirisation" de Catherine et en plus ils étaient espionnés par une mystérieuse femme vêtue de noire qui réussie à leur échapper en s'envolant (comme une chauve-souris par les toits). Ils trouvèrent juste qu'elle avait souvent cour du soir avec la prof de physique et accessoirement prof principale. Ils opérèrent donc une petite surveillance nocturne et arriva ce qui devait arriver, ils tombèrent sur ce qu'ils n'auraient jamais dû voir à savoir l'élève et le prof . ce qui n'aurait gêné personne sauf que la prof avait la facheuse habitude d'embrasser sa partenaire dans le cou avec des canines trop développées pour être normale... Mais là encore, elle réussit à s'échapper...

Astucieux, ils se planquèrent dans un Etap Hôtel à quelques kilomètres de llà espérant bien que la vampire retrouve sa proie par le lien étroit qui les unit. Et c'est ce qu'elle fit sauf que la vampire était plus maligne qu'ils ne pensaient et bientôt elle se mit en quête de tous les butés comme dans le bon vieux film d'horreur de la maison isolée. Plus d'une fois, la vampire faillit les envoyer ad patres mais à bout de souffle, ils réussirent enfin à la renvoyer dans la cité de Dis...