Les personnages rang 2/3 auxquels nous avons pensé

Après quelques notes de musique (lui, venu juste là pour une prestation au nom de la famille Bayushi dont son frère pouvait avoir glorieusement la sécurité de l'ambassadeur), il fut aussi touché que par l'origami. Une sorte de touche artistique liait les deux arts et c'était cette Doji. Informations prises il avait son nom sa lignée etc. Evidemment sa famille ne serait jamais digne d'une alliance avec elle, surtout qu'elle venait de se fiancer à un Seppun, donc aucune raison d'éliminer une personne de si haut rang sauf pour un fiasco, un gâchis et un déshonneur complet pour tout le monde. C'était ça aussi Rokugan, une goutte de sang qui peut éclabousser plusieurs familles en même temps. Il fallait donc faire en sorte de trouver autre chose mais un jour viendrait ou le plan se dessinerait de lui-même. En attendant il se permit d'écouter les délicieuses notes de musique avec un sourire contemplatif. Plutôt deux sourires, car son masque arborait ce jour le sourire narquois d'un homme.

Plusieurs jours plus tard il dût quitter la cour pour un "massage" spécial à la bordure de Tsuma. Déguisé en femme il apporta les dernières huiles qu'un masseur put voir. L'homme avait blessé "une huile" bien placée de la famille Shosuro. Le masseur glissa sur une planche humide ce jour là. Malheureusemnt sa tête percuta l'angle de la planche de bois. C'est triste mais quelle fin plus logique pour un masseur que d'avoir l'esprit malléable, à l'écoute de ses "patients"?

Mais avant de quitter la Doji il se permit une fantaisie anonyme vantant la légèreté de sa main sur l'instrument de musique qu'il ne pourrait jamais assez bien décrire devant le talent d'une artiste Kakita.

Tamae reçut cettte missive avcec émotion, ne pouvant s'empêcher de croire au plus profond de son coeur qu'elle venait de lui. Elle la dissimula dans le double fond de sa boite à bijoux et continua sa vie de cour, jusqu'à ce qu'on lui annonce très officiellement que son mariage aurait lieu à la fin du printemps. Entre deux, elle repoussa très fermement les avances de plusieurs samourai, dont l'un des propres enfants de Seppun Truc Sama et continua de jouer de la musique, de composer des morceaux doux et mélodieux, de créer de merveilleux origamis, d'écrire des haïku et d'espérer.

Sombre est la saison
Des fleurs de cerisier
Sang, guerres et larmes

Ce fut à la veille de ses noces, enfin, qu'elle le revit.

blam !
ippon !
Fuyuhito regarda le jeune samourai en mal d'apprendre une prise de projection. Il était resté gentil avec ce jeune là, il avait maintenu la manche quand celui ci avait touché le sol avec son dos. La fois d'avant, vu l'air narquois du samourai du meme age qu'il avait affronté en entrainement et qui faisait deux fois son poids il n'avait pas tenu la manqhe. Celui ci avait senti la différence dans son petit vol plané en direction du pan de mur séparant le dojo de la salle de thé du sensei.

La mission de la veille n'avait pourtant pas été très désagréable : coucher avec une samouraiko avant son mariage pour qu'elle soit retrouvée de bon matin par les domestique dans une chambre juuste ce qu'il faut pour de mauvaises rumeurs. Il n'y a pas de sous profession comme on dit dans les murs de l'académie. Il 'en restait pas moins qu'il fut content que ce ne soit pas cette Doji, ça aurait été nettement plus difficile maintenant qu'il y pensait. L'oeuvre avant tout, sa prochaine mission aurait lieu dans le palais même du champion d'Emeraude. Quelquechose de dangereux mais faisable. Rien qui pourrait nuire au personnaghe ou son entourage, juste une récupération d'objet chez un invité, et son rappatriement à Tsuma la journée d'apres.
Sur sa liste la suite serait toute aussi passionnante puisque Fuyuhito devrait se rendre dans le nouveau palais du Shogun...

Trop bien ces personnages une grue et un scorpion que rêver de mieux comme tandem .

En plus les Haikus de Pandore sont excellents. Y-a-t'il un art quel ne maîtrise pas ?

Par contre c'est quoi Gempukku ?

Gempuku > petite epreuve/rite de passage à l'age adulte

pour l'art qu'elle ne maitrise pas je vais faire des recherches.....

Bon, tout ça est vraiment très bon. La seule lecture est déjà un délice... à tel point que je laisse à mes joueurs adorés le soin de déclencher la suite !

Ce qui veut dire: oui, ce sont bien eux qui décideront quand passer à la seconde étape. Faudrait pas les brider, non plus...

PS: le jeu de mot est parfaitement fortuit et involontaire

La musique. Le chant. Tout plein...


C'était à la veille des noces. Tamae profitait de la quiétude d'un des innombrables jardins impériaux, au petit matin, vêtue d'un simple kimono aux coulezurs de sa famille, non des imposants vêtements qu'elle portait d'ordinaire. Elle réfléchissait aux choix qu'elle avait fait, durant sa brève existence. passé l'excuse du bushi-do et des sempiternels "je fais mon devoir", "il ne faut pas", "ça ne se fait pas", il y avait Le traité de la vie parmi vous, qui avait fait des ravages dans les sphères trop bien pensantes de la société, et il y avait cet empereur si peu traditionnaliste. Il y avait des choix - cela crevait les yeux. La possibilité de dire "non", de négocier, de détourner les choses... De refuser une existence toute tracée pour s'en forger une, nouvelle, à l'image de ces nouveaux héros qui avaient bouleversé l'ordre de rokugan.
Elle avait décidé d'accepter ce mariage, de rester à la cour, avec sa petite existence futile de courtisane et d'artiste.

J'ai choisi ma vie
J'ai choisi ma propre cage
Et coupé mes ailes

Il fallait assumer ce choix. Elle allait assumer ce choix. Quand soudain, elle le vit. Il était discret, pas de cette discrétion déshonorable de celui qui complote (enfin, venant d'un Shosuro... ) mais de celui qui a quelque chose à faire chez quelqu'un/ pour quelqu'un et n'a guère envie d'être retardé.

On en retombait toujours dans un concept de voir avant tout.Après cette aventure à la cour il dû passer plusieurs mois a arpenter les terres du clan du Crabe. Quelques divers représentations à effectuer et surtout pour être sur de sa discrétion le sensei de son école l'avait envoyé vers les anciennes terres faucon pour cotoyer la famille Toritaka et leur sens aigu du détail.
Ce voyage de plusieurs mois l'endurci physiquement et psychologiquement devant la rudesse d'un peuple dans le plein sud de rokugan. Il n'avait jamais fréquenté autant les paysans.Ensuite ses pas le ramenèrent après un hiver difficile de route dans le sud vers la Cité des Mensonges ou il trouva un beau vivier de personnes a rencontrer sur missions de divers Daymio.C'est au moment ou il quitta la cité qu'ilse rendit compte que cela faisait maintenant une année qu'il ne l'avait pas vu. Ne pouvant pas lui écrire des des évidences de courrier il ne lui avait fait livrer que quelques feuilles de beaux papier pour origami de façon anonyme.

Pendant ce temps, Tamae avait bien d'autres chats à fouetter. Son seigneur, en effet, avait été empoisonné. Il n'était pas mort, en épouse bienveillante et attentive, elle s'était aperçue à temps - la condition de femme de samourai, outre les obligations charnelles qu'elle imposait, contraignait également à s'accommoder des ronflements... ou pas - de l'anormal silence de son mari. Affolée, elle appela les serviteurs, fit mander le médecin... Bidule-sama fut sauvé. Il y eut une enquête, bien sûr, dont le résultat - la mort de deux garçons de cuisine, n'avaient rien à voir avec la vérité : Kazeji, l'aîné, était l'instigateur de cet attentat. Il faut dire que Kazeji san était impatient à la fois d'hériter de la charge de son père, et aussi de l'épouse qui allait avec. N'étant pas marié pour cause de pas le temps, il avait très envie de remédier à ce problème. Le plus vite possible. Tamae ne dit rien, demeura la gentille petite musicienne à laquelle tout le monde était habitué, et commença à faire jouer des relations. Des faveurs. Echanges de cadeaux, sourires et tutti quanti, pour arriver à éloigner Kazeji du foyer. Un poste dans la légion d'émeraude, grade d'officier bien sûr... Mais Kazeji transféra cet immense honneur à son cadet - Toku - qui avait toujours rêvé de devenir légionnaire, c'est bien connu (et surtout, qui était trop heureux de quitter le palais et ses intrigues...).
Dès lors, une lutte souterraine commença à s'engager entre Kazeji et tamae. Une lutte faite de mesquineries, d'allusions, de complots - jusqu'à ce que, un jour, le jeune homme s'inquiète franchement auprès de son père : "d'accord, je suis l'héritier, ta descendance est assurée, mais tu ne trouve pas, pasp-sama, que ce n'est pas normal que cette doji ne t'ait encore pas donné d'enfant ?" "Euh, si, tu as raison, mon fils, ce n'est pas normal".
Cela ne pouvait effectivement pas être normal puisque Chose-sama était stérile. Un effet secondaire du poison administré par son cher fils.
Evidemment, l'incapacité de Tamae à tomber enceinte (et pour cause) devint une obsession.
Passons les détails peu ragoutants d'un quarantenaire bedonnant s'acharnant sur une jeune et frêle artiste. Le plus dur, c'était les humiliations que devait subir Tamae.

Devoir être digne
Mon âme est emprisonnée
Mon corps supplicié

N'étant pas stupide, elle décida de se renseigner sur la nature du poison qui avait été donné à son mari. Elle fit appel via diverses relations alambiquées (et favorisées) à un éminent enquêteur de la famille Kitsuki, qui lui fit via détours et autres un rapport tout à fait détaillé des conséquences sans appel que ce poison pouvait avoir. Stérilité, même après avoir été soigné. Sénilité précoce, parfois (ce n'était pas le cas). Et fragilité cardiaque. Evidemment. Ca, Tamae n'en savait rien.
pendant ce temps, Kazeji continuait à la harceler et à comploter. Sauf que Tamae, cette fois, prit le soin de tout consigner. Elle protégea Grosbide sama de quatre tentatives d'assassinat, échappa à deux cabales... pas parce qu'elle aimait son époux mais par devoir et pour éviter que la honte rejaillisse sur sa famille. Et, quand il commença à la battre, menaçant régulièrement de la répudier, elle se décida enfin à lui parler. Elle ne lui révéla que ce qu'elle avait appris du poison. Bien sûr, Bidule sama fut désespéré, et se sentit même un peu coupable d'avoir maltraité sa petite épouse. Mais bon,la culpabilité n'a qu'un temps et quand un fils chéri décide de semer le trouble dans un esprit pétri d'orgueil et de honte, elle ne dure pas.

Le soleil se lève
Hélas! il est froid et pâle
Brillant, il est l'ombre.

tes xxx-sama me fiont bien rire.
Le reste est moins drole

fablyrr a écrit:

tes xxx-sama me fiont bien rire.
Le reste est moins drole

He oui, c'est la difficile existence des samourai-ko.

C'est vraiment un grand moment de joie de vivre et de respect de la Règle. Tu n'avais jamais fait un personnage si sombre mais Dieu qu'il est intéressant

Ailean a écrit:

C'est vraiment un grand moment de joie de vivre et de respect de la Règle. Tu n'avais jamais fait un personnage si sombre mais Dieu qu'il est intéressant

Ah si, je te rassure, j'ai fait du très sombre : une shosuro dépressive (morte), une bayushi - ce qui veut tout dire - qui elle est toujours en vie, une kakita actuellement shogun qui ordonne sans sourciller la mort de 10 000 personnes...

Tamae est plutôt tragique, je dirais...

pandore a écrit:

Tamae est plutôt tragique, je dirais...

Oui c'est le mot, on a l'impression à le lecture de tes textes que ses espoirs quand à passer une vie heureuse se sont envolés et que maintenant il ne lui reste plus qu'une vie d'abandon de soi avec la poésie comme seul refuge

La poésie et la résignation, pour le moment. Agréable à écrire, mais je ne sais franchement pas si je serai capable de jouer cela.

Autre cour d'hiver.
Tamae s'arrangea simplement pour être préposée au bien-être musical du champion de son clan. Au moins, elle avait un peu de répit pendant la journée. Son mari , lui, passait comme à son habitude un peu de temps à la cour, mais surtout enseignait au dojo. Il sentait que le poids des années était de plus en plus lourd à porter et avait à coeur de former ses élèves le mieux possible. Et puis, cela lui évitait de penser à al vipère qu'il nourrissait depuis deux ans dans son foyer. Tamae. Son fils avait raison, la Doji n'était décidément pas nette - et pourquoi avoir attendu tant de temps avant de lui parler des conséquences du poison ? Pourquoi avoir tenté, à plusieurs reprises, d'éloigner son cher Kazeji de la maison ?
Kazeji, lui, pendant ce temps, cherchait évidemment à faire d'une pierre deux coups : tuer son père et se débqrrasser définitivement de tamae. A sa décharge, il faut dire qu'il 'avait plus du tout envie de l'avoir pour lui. il voualit juste qu'elle disparaisse - de préférence à jigoku. Il cherchait, de son côté, une épouse, une brave fille aux hanches larges, sans cervelle si possible et avec pas mal de fortune pour lui donner des fils.

Escoté par quelques soldats de la Légion Impériale retournant vers Tsuma, il repris la route de la capitale. Il avait pris la place du petit acteur ne pipant pas grand chose de peur de déranger des gens de tant d'Honneur; oui Honneur avec une majuscule pour signifier cette troupe. Sauf qu'un soir venu il eu loisir de suivre deux d'entre eux parti en escapade nocturne por aller trouver "de la cuisse".
Terme intéressant pour deux preux samourai faisant des leçons de moral au petit nouveau de l'unité. Ce qui revient a poser la question de la définition de l'honneur; Des deux l'un était Crabe et l'autre Grue. Trop heureux de s'encanailler l'uin l'autre il se retrouvèrent dansune maison de passe de luxe en y lachant une partie de leur solde en saké et en fille. Tout commença sagement par une initiation musicale des oreille du dit Crabe par des conseils du Grue eux mêmes soulignés par des notes d'une prostitué voulant probablement s'envoler dans le domaine des courtisane mais qui n'avait pour elle que l'apparence. L'art est une chose qu'il faut prendre avec délicatesse. Comme ces pétales que l'on veut oter à la rose juste après la rosée du matin; Une a une on peu les prendre mais si l'on tire pas assez le pétal ne se détache pas et trop il s'arrache. C'est ça la subtilité de l'Art. la juste touche. Ce qui le ramena irrémédiablement à cette jeune Doji qui avait le juste talents dans bien des choses, qui avait l'apparence aussi de l'Art et qui on pouvait l'espérer avaittout cela en son âme aussi.
Mais il se consacra de nouveau à l'observation de ces deux samourais exempalires. POur donner le change des archétypes le Crabe nommé Mûgen expliqua le juste équilibre de l'ingurgitation de sake. Jin appris donc a boire; Oui véritablement boire et non pas feindre boire tout en lachant quelques goutte ou gorgée dans un mouchoir de coton. Il bu et il écouta. Les bus et zenis faisant les prosituées se regroupérent en grappe. Même si certains grains de ce raisin étaient déja un peu gater les deux samourai commençaient à l'être aussi par l'alcool. Ils en choissirent deux chacun. L'une tenta d'être un peu trop entreprenante sur le Grue, en public et il la gifla. Trouvant l'humour Grue d'un comique gras a faire faire de la friture le Crabe se lanca dans le concour et entama le duel par une terrible baffe à l'une de ses prostituée. Jin ne compris pas tout. Il hurla de n epas frapper les femmes de companie. Mûgen enchaina en lui désignant celle qui se plaignait a coé du Grue. ce dernier expliqua qu'il y a vait une raison; Il se prirent le bec deux minutes le temps aux dames de mauvaise compagnie de récupérée les deux leurs. Fuyuhito n'était là que pour observer lé déchéance humaine de deux samourai se tagant d'honneur et donneurs de leçon. Lorqu'elle se firent frapper il n'intervint pas car son devoir lui intimait l'ordre de ne pas se meler de probleme lier à la Légion d'Emeraude. Néanmoins l'homme et le devoir discutèrent quelques temps dans son esprit et pou le bien de l'Empire et leurs clans respectifs il décida d'oeuvrer.

Profitant du sommeil alcolisé des deux hommes il emprunta les sayas de ceux ci. Il les remplis avec un peu de sake et remis les sabres à l'intérieur. Il se rendit ensuite dans l'étable proche de là, il y pris du crotin qu'il mis consciencieusement au fond des foureau des wakizachis des deux soldats. Il pris ensuite le temps de défaire quelques lanières des morceaux d'armure armures des dits soldats et ressorti.

Juste avant l'aube il lacha deux bout dans l'étable et pris en échange une petite charette de foin. Le vol est un acte qui ne peut pas se faire quand on donne une leçon d'honneur. Il pris l'engin et alluma le feu une fois mis sur la place principale. Ensuite il alla sonner un e petite cloche et tout le monde cria au feu dans le village de passage; Dans l'urgence l'unité de la Légion d'Emeraude hurla au rassembleemnt immédiat. Lui parti se coucher, par la porte de derriere non pas pour se cacher car cela ne se fait pas chez un samourai, mais pour ne pas gener une unité de la légion d'Emeraude qui se rassemblait dans la cour.
Il n'était bine sur pas présent, mais les 2 donneurs de leçon eurent leur matière de rumeur et déshonneur ce matin là.
Le reste du voyage se passa correctement et sagement et ils arrivèrent enfin par un bel après midi de printemps à la cour imépériale. une petite halte et il devrait aller porter une message à l'époux du shogun; Dit en ces terme la situation était asse cocasse. On aurait pu croire dans le langage a une relation entre deux personnes du meme sexe, mais ca n'existe pas officiellement à rokugan, et de plus il semblent que ces deux personnages bien placés et honnorable aient chacun leur bourse mais pour des raisons politiques. Pour l'ehuere après le message il irait si tout s passait bien à la demeure de la mère du Sogun pour aller offrir uncour de théatre à l'ainée de la Sauveuse de l'Empire contre les barbares. Et puis peut être que dans ces cours officielles il pourrait y croiser une demoiselle intéressante ...

pandore a écrit:

La poésie et la résignation, pour le moment. Agréable à écrire, mais je ne sais franchement pas si je serai capable de jouer cela.

Attends de voir la suite... (mais franchement, c'est très très bon, ce que vous me faites là... )

on est sensé aller jusqu'ou au niveau timing/chrono de ta campagne ?

Lacenaire a écrit:

fablyrr a écrit:

on est sensé aller jusqu'ou au niveau timing/chrono de ta campagne ?

Globalement vos personnages doivent s'arrêter avant que ne survienne l'évènement , 2 à 3 mois avant l'orage convoqué par les Kitsu au nom des Hida ...

Petit rappel: cet orage monstrueux avait permi la destruction de Akuma par Kisada ; les complots de l'Empereur Hantei atteignaient leur apogée ; l'Ombre était révélée au futur Champion d'Emeraude et au futur Shogun...

Heu, je ne comprends plus rien, là. Tu nous demande de rédiger un historique commençant à la fin des hantei et ce jusqu'à "maintenant", grosso modo et là tu parles d'un truc qui a eu lieu bien avant. Moi plus comprendre.

Citation :

il doit être assermenté "Rang 1" une année avant la chute des Hantei (approximativement)

Oups, j'avais précisé ça sans plus de détails. Toutes mes confuses...

De toute façon c'est encore goupillable et modifiable (sans trop d'effort)... non?

Lace' "j'me fouette, j'me fouette"

Edit message précédent: à l'époque la guerre Lion/Grue menace d'éclater pour de vrai à mort, à mort et à mort...

tu veux pas recadrer un peu le timing. là aussi je suis perdu

Lacenaire a écrit:

Citation :

il doit être assermenté "Rang 1" une année avant la chute des Hantei (approximativement)

Oups, j'avais précisé ça sans plus de détails. Toutes mes confuses...

De toute façon c'est encore goupillable et modifiable (sans trop d'effort)... non?

Comme je le disais dans mon message qui vient d'être bouffé... Si, justement étant donné que toute la psychologie du personnage était basée sur la rupture enendrée par la guerre contre l'ombre, les changements dans l'empire et la remise en cause des valeurs du bushido.
Bon, ben je vais me faire un nouveau personnage. mais désolée, j'attendrai tes grandes révélations avant de me lancer cette fois.

Naaaaan !

J'ajusterais ! No problemo ! Pas de sushi ! :pandamum: