Pwatlov (sousdal 3/ newbees)

... et se sentir coincée dans une enveloppe humaine.

Père Vassily

Pawtlov est une ville formidable. Non seulement très peuplée, mais surtout peuplée de gens variés, intéressants.
De quoi jeter un léger voile de découverte sur la nervosité de mes amis de la famille Liontiev.

Les gens de l'ambassade, les occupants "légitimes", ne sortent pas, ne se font pas connaître; la famille Bakounine, elle, est accorte et agréable. Pour eux, pour eux tous et à leur demande, j'ai officié pour les Saints Bains de Théophanie. Une cérémonie pour laquelle j'ai été inspiré, à tel point que deux cortèges se sont rejoints, auxquels se sont ajoutés d'autres personnes.
Une belle cérémonie, dont je suis content: j'espère qu'elle aura aidé la fille des Liontiev à considérer d'un autre oeil leur déménagement à Pawtlov. Et tous les autres à aller de l'avant.

C'est à cette occasion, tandis que j'apprenais qu'un autre père Vassyi était décédé, que j'ai fais la rencontre d'un Évêque (Alexei, il me semble); plus tôt, j'avais discuté avec le Maître des Écuries du Gaïus, lors de ma séance de patinage (la première).

Il y a également la Damoiselle Russlana, ma foi fort agréable, avec laquelle je me suis inscrit à l'université; bel endroit, dont la fontaine gelée est un véritable émerveillement. J'ai été surpris de croiser son oncle enchaîné (mais j'ignorais alors que c'était lui), accusé d'avoir occis un... Père Vassyi.
Inspiré, je me suis rendu à son domicile. Pour y trouver Damoiselle Russlana.

Les voix de Théus, que voulez-vous que je vous dise...

Il est convenu que j'enquête du côté du Clergé, tandis que la Damoiselle fouillera vers le passé de son parent. Il est doux, artiste. Ni l'âme ni le gabarit d'un tueur. Et comme mon acolyte le dit : "j'ai des intuitions".

A Pawtlov, les gens sont importants. Pressés. Croyants. Les églises sont colorées, les toits étincellent sous la neige et les rues sont propres, mais cela semble... une apparence... une distance... Le centre du monde de l'Ussura me semble pour le moment bien éloignée des valeurs de Matushka. Mon cher Dmitri, qui m'a accueillie chez lui alors qu'il n'était pas prévenu, lui--même, semble plus distant, préoccupé avant tout par des cancans et se faire une place - mais en même temps cela ne lui ressemble pas.
La vérité, c'est que Pawtlov vous fait sentir petite crotte de lièvre, même quand vous êtes un tigre et qu'il faut du soutien pour ne pas se laisser écraser.
Du soutien, j'en ai trouvé sur le chemin de l'université, en la personne d'un évêque auxiliaire de Somojez, Père Vassily (mais je ne sais pas ce que c'est qu'un évêque auxiliaire). Sinon, je vais essayer de trouver un professeur de médecine et/ou vétérinaire pour m'apprendre à soigner les animaux.
Voilà. Le jour de la théophanie, il a fallu se baigner dans un lac gelé, et être béni - je me suis arrangée pour y rester TRES longtemps et sortir bien visible au soleil : une façon d'attirer l'attention...
Je n'ai pas pu discuter avec les personnes que mon oncle a rejointes, je préfère éviter de trop parler pour le moment, après deux mois passés sous mes autres formes, j'ai peur de manger mes mots...
L'après-midi, alors que je m'apprêtais à sortir, on a tambouriné à la porte. Une espèce de brute à barbe façon oprchina en armure dorée et ses hommes ont arrêté mon oncle pour meurtre ! Le meurtre du père Vassiyi (et non Vassily), c'est n'importe quoi. J'ai failli en finir aux mains/ griffes avec le capitaine en question, avant d'être aidée par un sergent. Et puis ensuite, il a fallu que je me débrouille pour donner quelques ordres, réunir les gens de la maison, fouiller le bureau de Dmitri (et j'y ai trouvé des bijoux Fidheli!!!!!!!) et le père Vassily est arrivé, comme porté par le destin ou Théus, pour m'aider.

merci pour vos résumés (que j'ai enfin pu lire) :

Je voyais ça plus roots!

c'est la version moderne, mais j'imagine qu'un prêtre avec un peu de panache peu gérer ça

Pawtlov est moins froide au petit amtin, et l'on y rencontre des gens plus agréables. Comme Fyodor v'Zynoviev, un jeune homme d'une famille de militaires et de messagers, dont le frère est fauconnier. Il a accepté de m'aider à libérer Leos si j'arrivais à rapporter des preuves plus concrètes pour engager sa famille. Ensuite, j'ai retrouvé le père Vassily et nousavons pu discuter un peu. Il se trouve que dans le bureau de Leos, j'ai découvert des missives d'un certain père Vassiyi, alias le défunt, qui tentait de plaider la cause des Kosars auprès de mon oncle. Et son éminence, lui, a trouvé tout un tas de courriers entre le défunt et des kosars...

Suite à cela, j'ai assisté à mon premier cours de droit (et de loi, de justice, de verticalité, horizontalité et autres complexités politiques), puis j'ai reçu le sergent Timofei, qui m'a décrit comment était morte la victime, et a fait ce qu'il pouvait. Enfin, avouons-le : le capitaine de la milice est aussi doué pour les enquêtes que moi pour les danses de cour.
A propos de cour, j'ai pu bavarder un peu avec Fyodor, qui reste très prudent (et je n'arrive pas à savoir s'il appartient ou non à la haute noblesse), de l'Oprechina et des ramifications d'une éventuelle guerre contre les Kosars. Je pense que Fyodor est une personne intéressante, quoi que peut-être plus attachée à sa famille et à sa fonction qu'à ses idéaux ?
Bref, suite à cela, j'ai reçu le père Vassily, et un moine est venu le chercher pour bénir le cors avant que celui-cisoit embaumé. Bon, c'est là que cela se corse. Je suis tellement agacée par cette histoire que jai perdu ma concentration me permettant de me métarmophoser en louve. Je l'ai donc accompagné pendant que son acolyte et Boris (le menuisier) jusqu'à l'église où il reposait. J'ai pu brièvement examiner le corps (émasculé), et constater que le meurtre avaitété commis de manière très brutale, un coup de outeau dans le coeur. Ensuite, j'ai laissé le père Vassily à ses bénédictions et ses flagellations pour aller examiner les appartements du mort. Primitif. Très primitif. Là, j'ai eu le déclic et je me suis enfi métamorphosée. après avoir appelé des chiens à l'aide, nous sommes partis sur la piste du tueur...

J'ai appelé une quinzaine de chiens pour nous servir d'escorte. La piste d'épices et d'alcool nous a conduits, avec le soutien spontané d'un garde, dans une auberge des bas-fonds. Là, impossible de trouver autre chose que de la misère humaine et des gens pas si mauvais que cela. L'un d'eux nous a livré (une fois dehors) un nom : Iustziyi, un tueur qui n'agirait que contre les traitres ???
(je devrais l'engager pour se débarasser de l'Oprechina).
Voilà, le lendemain, fyodor réussissait à faire sortir mon oncle de prison.
J'airécupéré 6 chiens


et j'ai engagé via la ligue Vendel un prof de médecine vétérinaire et un garde du corps de Snedig. J'ai aussi l'ambassadrice d'Avalon et sa suite à prendre le thé!!!
Et bien sûr, le père Vassily et Fyodor!

De rien à tout, où presque. En une journée, j'ai croisé la Gallenia Katheryna et parlé avec le knias douma de Rurik. Tout cela, grâce, en aprtie, à mon amie l'ambassadrice d'Avalon, Geena, qui sous ses airs adorables est capable de tout voir et de tout observer.

Donc, après un mois de salons miniatures organisés à la maison, en compagnie de personnes triées sur le volet (enfin, plus modestement, de celles qui voulaient bien venir), après avoir fait connaissance de Jana van Vries, ma garde du corps (j'apprécie beaucoup cette femme) et de mon professeur de médecine vétérinaire, me voici donc conviée à une matinée au palais du Gaius, non pour le voir lui, mais parce que la Ligue vendel organise un événement autour des épices. Ca tombe bien, j'apprécie énormément les Vendelar. j'étais un peu perdue, en arrivant, mais j'ai heureusement pu discuter avec Geena, ainsi qu'avec la maîtresse de la Ligue et Petia, une femme vive, un peu entremetteuse sur les bords et très certainement comploteuse, mais appréciable. Puis la Gallenia a fait son entrée. A croire que ma révérence (j'étais tellement concentrée que les cours de maintien me sont revenus instinctivement) a plu, elle m'en a rendue une. Peu après, il y a eu un incident entre les stelets et l'ambassadeur d'Eisen. Vassily (l'archevêque auxiliaire) est intervenu en sautant pas très protoclairement par la fenêtre), moi je me suis frayée un chemin dans la suite de la gallenia. J'ai réussi à sauver la vie du stelet blessé, je crois. Et bien sûr, entre deux, j'ai reçu cette invitation "de dernière minute" pour l'anniversaire de la traductrice personnelle du Gaius, linguiste, spécialiste en droit, asociale, et intellectuelle - tout ce qu'il me faut ^^ bref, je suis allée lui chercher un cadeau (du chocolat) - soit dit en passant ces messieurs de l'Oprechina ont ofert un tapis qui vient de CHEZ MOI! bande de voleurs... (au moins cela s'est su...) bref, je pense m'en être tirée, ce soir, grâce à deux personnes : Geena et le knias de Rurik qui m'a donné la force (son regard ? Ses conseils ? Le fait que ce soit un loup ?) de me tenir têtee haute toute la soirée. Même quand je me suis métamorphosée en louve blanche pour gérer un fou furieux qui voulait agresser la "reine" de la soirée...
Et voilà.
Je me rends compte qu'il faut vraiment que j'affûte mon esprit et que je deviennne polituquement intéressante, très vite.

Non, je ne me marierai pas. Pas à l'une des ordures qui servent d'ambassadeurs de la Molhyna à Pavtlow. Avertie par l'évêque auxiliaire Vassily, aidée par ma chère Geena, j'ai COMPLOTE. Et j'ai aussi pris conscience que la première chose à faire si je voulais aider mon douma, c'était de leur forunir une ambassade digne de ce nom. Avec, de préférence, moi pour la diriger. Les détails sont encore un peu flous, mais grâce à 1/une vie mondaine (enfin, sociale, enfin, en fréquentant les bonnes personnes, enfin, que j'apprécie, dans la foulée d'ailleurs j'ai visité l'élevage de faucons royaux, ils sont très mignons) et une lettre passablement modifiée, mes "chers" compatriotes auront le déplaisir de perdre de potentiels alliés (ambassade de Veche, notamment...) Sinon, j'ai découvert un truc génial : la métamorphose, ça permet de rendre justice la nuit dans les rues de Pavtlow et de faire sa mijaurée en robe le lendemain... bref, un mystérieux chevalier masqué m'a aidé à me dépatouiller avec une bande de Leshiis tueuses de serviteurs.
Penser comme une louve.
Observer comme une chouette.
Riposter comme une tigresse.
Merci Matushka de m'avoir permis de partager mon âme avec ces précieux comapgnons.

Rima a disparu.

La fête organisée par le nouvel ambassadeur Eisenor (un homme charmant) a tourné au vinaigre – du moins pour moi…

Un des membres de « l’ambassade de Molina » s’en est pris à une noble de grand lignage, je suis intervenu. Et, une fois de plus, ma médiation n’a pas été des plus concluantes. Ils en sont quittes pour un duel et davantage de rancœur. On en a profité, de cette soirée, pour me rabattre les oreilles de ce part formidable, cette divine opportunité, qu’un mariage magnifierait : moi.

Oui, mais non.

Je crois en Théus. Et LUI SEUL me dictera ma conduite sur ce point. Si j’aime au-delà de la raison une dame, je l’épouserais, fut-ce une paysanne, une princesse, une régente, une ministre, ce que vous voudrez. Vos raisons d’Etat, vos alliances, vos complots n’ont pas mot dans le choix de la seule personne avec laquelle je suis autorisé à partager mes jours et mes nuits.
Bref.

Rima s’est vu proposer des fiançailles et des épousailles avec un militaire, renvoyé vers moi par le confesseur du Gaïus. Je dois agir prudemment, avec tact pour ne froisser personne et garantir le plus de bonheur à tous et toutes.

Seulement Rima a quitté la fête sur un coup de tête.

Une cavalière Eisenore, Josefina (brute, brutale mais… gentille ?), m’a accompagné pour la retrouver. En vain. Nous nous dirigeons vers l’ambassade après trois heures de recherches infructueuses.

Dame Russlana doit pouvoir nous aider.

Théus, prête-nous ta force !

Theus t'a toujours parlé par la bouche d'autrui. Donc, je trouve ça bien lâche de fuir les conseils avisés d'une noble dame sur le mariage

Eh oui, selon le Père Vassily, mariage équivaut à amour. Or Théus place l'amour sur la route de ses fidèles - d'où : mariage arrangé contraire à sa gnose ! Surtout qu'un prêtre a droit à un unique mariage...

Vassily

Nous avons retrouvé Rimma.
Enlevée par des malotrus, des brigands. Contre rançon, évidemment. La traque n'ayant pas porté ses fruits, nous avons dû payer... Un temps.
Et s'occuper des distances entre les parents de la jeune fille et les preneurs d'otage - sous-estimer leur sang froid, devoir en discuter plus tard.

Et Dame Russlana de devenir tigre lors de l'échange ! Un massacre...
Les survivants en seront quittes pour une exécution que je n'ai pas pu commuer, ni ajourner.

Et cette grotte, qui respire les effluves de Légion. Il s'y tramait quelque créature affreuse et impie. Ou pire : un homme voué aux pires ténèbres...

Peut-être devrais-je continuer d'engager Magnus Peterson, le bretteur bavard et pointilleux - peut-être...

J'aime les soirées, décidément.
J'y ai même traîné mon oncle, oncle que je mécène et dont j'entends bien faire jouer les compositions dans Théah tout entière...
Oh mais voilà!!!! Voilà ce que je vais offrir à l'imperatora et son époux.
Une belle composition de mon oncle et ... je verrai bien quoi. Déjà, il a composé une messe ce me semble.
Oncle, par ailleurs, qui j'espère se rapprochera de Cybela. Parce que cette jeune femme est passionnée, intelligente, séduisante, artiste... Bref. Sur place, j'ai pu échanger quelques mots avec l’ambassadeur du Croissant, mais surtout les nouveaux ambassadeurs eisenörs, lui étant visiblement d'un milieu plus modeste qu'elle, aimant parler, bouger, les voyages (enfin, c'est l'impression que j'ai eue.) Il m'a demandé de lui donner des noms pour représenter la Molhyna au mariage de l'Imperator... Vu que les ambassadeurs officiels sont occupés, les pauvre petits choux, à se dépêtrer de toutes les offenses qu'ils ont faites à la famille de Yelena, et à insulter les autres dames... Cela dit, je suis bien contente que ma ruse ait fonctionné (et de l'aide de geena sur le coup), j'espère que cela va durer. Ils me font un peu peur : ils ont l'autorité des représentants de l'oprechina (pardon, du Knias) et la brutalité de firbors. Bref. Je me dirigeais vers les membres de la ligue vendel (deux raisons à cela : Anneke, avec laquelle j'aimerais vraiment faire "affaire" pour ma ville et Sebastian van herp) , mais Odetta di Corto della Falisci, qui est tout ce que son ennemie Vestini n'est pas : courtoise, bien élevée (je ne prétends pas être un modèle d'étiquette, mais MOI je ne suis pas vulgaire. Bref, celle-ci l'ayant offensée, elle a choisi Sebastian comme champion (en regard d'une dette de la guilde envers l'ambassade) et moi comme témoin. Sebastian a gagné (il a vraiment beaucoup de charme). puis nous sommes retournés sur place.
A peine avais-je quitté la fête, après une discussion avec Umaya sur la nécessité ou non d'avoir une dame de compagnie en plus de Jana, que l'évêque Vassily faisait appel à moi : sa protégée, Rimma, avait été enlevée alors qu'elle fuyait la fête.
Il avait besoin de mes chiens pour suivre la piste. Ce que nous avons fait. Le souci, c'est qu'il y avait trop de passage. Avec Jana, nous l'avons finalement suivi chez ses protecteurs. Vu que Lyontiev est devenu "le général à la mode", je me suis dit qu'il yy avait peut-être des jaloux, des menaces, etc. Vassily a fouillé son bureau. Rien. Pas de trace non plus dans la chambre de Rimma - pas de projet de fugue dans son journal intime. Je suis contente de ne pas avoir tenu ce genre de carnet, et reconnaissante à mes amis tigre, loup et chouette de m'avoir fait don d'un peu d'eux-mêmes, ainsi j'ai pu goûter la liberté de courir, voler, chasser et m'échapper de la demeure de mon père chaque fois qu'il m'en prenait l'envie.
Le professeur Bakounine nous a rejoint. Impossible pour moi d'aller demander des comptes au duce Sandro della Vestini au vu de mes mauvaises relations avec cette femme dont j'ai encore oublié le nom (décidément) qui lui sert de garde du corps, et du duel dont j'ai été témoin. Son éminence craignant de ne pas avoir la diplomatie nécessaire, c'est donc le professeur qui s'est chargé de la lettre. Nous avons eu rendez vous trois heures plus tard au café de la Ligue?. Avec café, et toujours SANS CHOCOLAT!!!!
Vassily avait du nouveau, c'était une bête demande de rançon (et même pas un complot politique des v' Souvarov). 1000 grivnas. Bon. je me suis proposée pour aider, et envoyer un faucon en reconnaissance. Après discussion, il s'est avéré que Zlata lyontiev en avait un. j'ai vite perdu patience quand l'évêque a commencé un discours paternaliste sur la fragilité émotive de Zlata, qu'il ne fallait pas la prévenir, mais plutôt le général (un homme, un vrai). Je ne peux m'empêcher de sortir les griffes dans ces cas-là. J'ai l'impression d'avoir mon père et l'un de ces imbéciles arriérés de pseudo-conseillers en face de moi. A traiter les femmes comme de petites choses fragiles qu'il faut protéger (et surtout, ner pas prévenir quand quelque chose de "grave" se passe, de peur qu'elles deviennent hystériques...) Bref. Donc, Zlata a été prévenue. M'a prêté son faucon. Et nous sommes convenus d'un plan. Le pitchoune n'a rien vue de spécial, mais au moins on savait où aller et à quoi ressemblaient les environs. un peu avant le coucher du soleil, donc, nous y sommes allés. Moi, en éclaireuse, sous forme de chouette. Eux : Zlata, Vassily, Jana et Magnus le bavard, plus 2 bogatyrs (non, cher oncle je n'ai pas envie de me trimballer avec des types monolithiques qui vont avoir une attitude surprotectrice... mais tu as raison, je vais en engager deux pour veiller sur la maisonnée en mon absence) et mes six chiens. J'ai vu que le général se dirigeait vers les lieux du RDV a la tête d'une troupe armée. bref. Les brigands, juste des brigands à la noix étaient dans une grotte. Je me suis métamorphosée en tigre au moment de l'échange. J'ai coupé la corde de la barque. Je me suis occupée de ces criminesl. Ceux qui avaient de la jugeotte ont sauté à l'eau. Voilà. Après cela, j'en ai récupéré un dans la grotte, mais je n'ai pas bien compris pourquoi ils l'ont fait exploser. plus de peur que de mal, en tous cas. Voilà. Après cela, nous avons retrouvé le général et nous sommes rentrés. Mes chiens ont dormi dans la maison. j'ai retrouvé Nini, la plus petite de tous, belssée à la patte, pelotonnée sur mon lit.

il n'y a pas eu de massacre : il y a eu coup de patte pour un direct dans l'eau

Vivement la suite vu que ça vous plait alors

Qui parle de massacre ? J'ai distribué quelques coups de griffe et les autres ont appris à nager!

exactement! Grrr

Notre gaïus est fou.
Notre gaïus est un assassin.
ET NON, ce n'est pas le grand tigre blanc qui s'est mis en colère, les tigres sont rancuniers, c'est vrai, mais pas comme ça. je le sais, j'en suis un. Là, c'est autre chose. Ce n'est pas bestial. C'est comme si son esprit avait cessé de fonctionner. Pourtant, tout avait bien commencé, lors de cette soirée, un bal costumé durant lequel je m'étais vêtue en corbeau. J'étais arrivée à ne pas me ridiculiser en dansant, et même à réussir à ne pas totalement passer inaperçue dans la foule. J'aurais aimé approcher Sebastian, mais je n'en ai pas eu le cran, courage, toupet, bref, pas envie d'être ridicule ou prise dans un jeu politique dont je n'ai nul besoin en ce moment. Même si... bref.
Une danse plus tard et quelques verres de vodka en sus, j'ai retrouvé l'ambassadeur de Castille, autour d'un peu de nostalgia, je crois que les terres de Molhyna me manquent, presque physiquement, non complètement physiquement, c'est MON pays, je ne sais comment le dire autrement. Et là, l'nvoyé de l'imperatora fait son discours, je me dis que les termes employés ne sont pas les bons, et le gaïus commence à monter en pression, j'ai aussitôt pensé à la petite Ta bea, je me suis approchée, à temps pour lui éviter de finir comme son père ou les gardes, égorgée, tuée d'une balle à bout portant, etc. J'ai commencé à fuir. Je me suis pris une dague empoisonnée dans le flanc. J'ai continué pour tomber sur Fir qui a tenté de me tuer. Je l'ai insulté, assez fort pour que les gens entendent, j'espère. Et j'en ai profité pour clamer que j'étais l'envoyée de Koshkei. Bah quoi ? Le stelet que j'ai sauvé s'est interposé. J'ai fui, avec la petite, jusqu'à la pièce suivante : on s'est glissées sous une table le temps que je me transforme. En tigre. L'autr, je lui aurai bien fait sa fête, mais j'avais une gamine à sauver, alors je l'ai prise dans ma gueule t j'ai bondi, grimpé, fui, jusqu'à ce que l'évêque Vassily et sa protgée nous retrouvent et nous aident. Vassily connaissait un passage secret, cela nous a permis de sortir du palais. Nous avons trouv" refuge chez Ivan, un maquignon et dresseur de chevaux très gentil, ainsi qu'un vétérinaire, Alexandr. A deux, Vassily et moi avons réussi à trouver de l'aide, une aide qui nous a conduits dans des bains publics réservés aux femmes, chez une certaine Lena. Toujours est-il que Tabea est sauve. Firs, excommunié et mort. Et moi, je suis plus déterminée que jamais à libérer la Molhyna de l'influence de ces pourritures

J'ai hébergé le faucon de la conseillère du knias douma de Somojez. Il aurait pu mourir, car la nuit de son arrivée, ma demeure a été attaquée, incendiée, détruite par l'Oprechina. Sans l'intervention de Koshkei, je ne me serais pas réveillée...
Macha est morte.
Un autre domestique, Liev, a été égorgé lui aussi - quasiment tous les autres ont été étouffés apr la fumée.
Le matin même, je proposais à Vassily et à dame Zlata mon aide pour leur arrivée (au knias et à sa suite). Nous étions chargés, Leos et moi, de la partie "musicale" ... Mon oncle avait même une idée. Mais à présent, tout a été détruit. Il a perdu tous ses papiers, toutes ses partitions. Je sais que cela l'affectera, mais je suis aussi certaine que cela va l'obliger à  bouger, aller de l'avant. Bizarrement, cela me renforce plus encore dans ma détermination à me débarrasser d'eux et à libérer la Molhyna de l'emprise de ces pourritures.
Revenons-en à l'incendie. D'abord, j'ai pensé au faucon. Ensuite, à mon oncle, mais un homme a fait irruption dans la pièce et j'ai été obligée de sauter par la fenêtre.
Après, je me suis transformée en louve et j'ai appelé au secours. Deux personnes ont répondu à mon appel. Anis v'Sousdal, la conseillère du knias douma (pygargue et panthère), puis Alicia, une Avalonienne qui possède aussi la magie pyeryem (je demanderai des informations à Umaya). A deux, puis trois (la hache transformée en bonbon!), nous avons eu raison de cette pourriture. J'aurais juste aimé qu'il reste en vie... pour l'interroger.
J'espère que la garde et les stelets vont faire leur travail, et demander des comptes à l'Oprechina. De toute façon, de deux choses l'une, soit ils nient leur implication dans l'affaire et cela veut dire qu'ils ne sont pas fichus de contrôler leurs hommes, soient ils l'admettent et dans tous les cas, je demande réparation. En grivnas, et en excuses publiques. Si nul ne bouge, un duel devrait résoudre le problème.
Pour l'instant, nous - Vassily est allé chercher Jana, heureusement!!!  - sommes logés à l’ambassade de Somojez. Ce soir, la knias de Gallenia, Tamara m'a proposé également de m'héberger, je suis tout à fait consciente de la portée politique de son acte et d'autant plus triste de ce qui lui est arrivé.
Je  suis tentée de rester à l'ambassade, mais je ne veux pas devoir trop... même si cela me permettrait plus facilement de le revoir... je ne suis pas sûre que cela soit très sage. Non parce qu'il est knias, mais parce que j'ai peur que cela me détourne de mes objectifs premiers. Et puis, mon cœur s'est déjà emballé un peu vite pour des gens que je connais à peine.
Même si...
Je suis tigre, avant tout.
Non ?

non, tu es une femme

T es sûr ?