Sousdal saison 2 - du côté des joueurs

Hier, nous avons repris, enfin, S7M!!! :lgift:
Ici, donc, nous allons raconter les parties de la saison 2...

Nous étions 6. 6 rescapés, échoués sur des rochers glissants, aux abords d'une prison en flammes. 6 rescapés, dont deux gravement blessés, qui se demandaient combien de temps ils pourraient tenir avant de se noyer... Soudain, alors que la tempête s'apaisaient, nous vîmes des navires à l'horizon. Amis ? Eh non... Des Stelets et des Dragons rouges, les gardes de Sousdal... Glups. Et de l'autre côté, des ailerons de requin. Re-glups. Entre Charybde et Scylla... Je m'élançai donc, dans l'eau sous l'eau, façon "je ne fais pas comme si je sais à peine nager, je suis une sirène sure d'elle..." à la rencontre des squales.

Ils étaient une bonne dizaine. Tous plsu ou moins modèle énorme, avec des dents monstrueuses... J'ai donc expliqué comme j'ai pu quelque chose du genre "ne nous tuez pas, nous sommes des enfants de Matushka comme vous, aidez-nous"... L'un d'eux a foncé sur moi. Je dois avouer que j'ai cru ma dernière heure arriver, mais il s'agissait d'un sorcier pyeryem. OUF. Venu nous sauver à la suite d'un rêve prémonitoire... bref... Nous voici rapatriés cahin, caha, enfin, plutôt à toute allure au départ puis déchargés sur la rive... Puis menés par l'hiomme qui nous a sauvés, un charmant Fidheli du nom de Betshado (du genre ténébreux et séducteur) jusqu'au campement de la kumpanya.
Après des soins et une bonne nuit de sommeil, nous snous somems réveillés... habillés et accueillis par le porte parole des Fidheli (des Basulde), Shandor. Qui, très protecteur, nous expliqua que l'hospitalité nous était offerte, mais que nous étions des étrangers. Ce genre de chose.
Après, pendant que iossef et Nikolaï allaient se laver, Isham m'expliqua pourquoi ils étaient venus nous chercher - complot initié par Arturo, l'amant de mon ami Alexia... Isham a choisi entre l'amitié et le devoir, Nikolaï s'était fait virer de son poste de capitaine pour avoir clamé haut et fort que l'arrestation était injuste, Milan par amitié et parce que nous l'avions aidé. Restait... Un Mondavi officiellement ambassadeur, avec un nouveau prince, et une famille Caligari intégrée sur le territoire Mondavi. Donc, Andrea, courtisane Caligari, est dépendante de recluro mondavi. Ensuite, Valentino est seul et abandonné de tous, en gros il n'a plus aucun soutien. Enfin, Gianni est tombé amoureux de Nadja, la chanteuse d'opéra et envisage de demander sa main. Je m'attendais à ce qu'il tombe amoureux d'une autre, mais là... Disons qu'outre le fait que cela fasse très mal - on a beau être préparé... - c'est le choix de Nadja qui est terrible. Gianni est un homme séduisant, adorable, mais il va la détruire - il va l'épouser,se lasser, trouver quelqu'un d'autre et la rendre malheureuse...
Bref. Pas des nouvelles très réjouissantes. Mais je refuse de me laisser abattre.
Après être allée me baigner, avoir grignoter de l'herbe sous ma forme de lapin, vous avez, celle-ci...


je suis allée me promener dans le camp, puis attirée par du violon, je me suis approchée de deux femmes. Une blonde impressionnante et une jolie brune qui jouait.
La blonde Ostelinda était assez hautaine et orgueilleuse, la brune... iossef en parlera mieux que moi. Je les ai laissés pour aller remercier Betshado... Betshado, outre le fait d'être un requin, est également lanceur de couteaux. C'est un homme très charmant, très séduisant, et qui considère la vie comme un défi. La séduction aussi, visiblement. Ce qui n'était pas du tout déplaisant, en fait - les jeux de séduction sont quelque chose que j'adore... Mais... Mais voilà. Jelui ai promis uen danse en échange de son présent (un couteau), le soir, à la veillée, après que Josca et Iossef aient fait un magnifique duo, il lança un défi à Ostelinda et moi. Un défi de danse. C'est là que les problèmes commencent... Disons que j'exécutai ce qui pour moi est une danse assez bien, mais pas transcendante, et le problème est qu'Ostelinda ne fut pas tout à fait à la hauteur. Comme elle était très vexée, j'essayai de minimiser la chose, expliquant que c'est mon métier (ce qui est vrai tout de même), et là, cette fille qui était censée être la future dirigeante de la caravane (et décrite comme au-dessus de plein de choses) me dit "moi aussi". Glups. Et elle d'ajouter "de toutes façons, vous partez demain.." et de se faire vertement taner par sa mère. Inutile de dire qu'effectivement, j'avais plutôt envie de partir des le lendemain, me voyant assez mal être l'ennemie d'une fille que je ne connaissais pas et utilisée par un jeune homme pour la rendre jalouse ou par jeu...
Et alors, des hommes, trente, quarante, ont attaqué, armés de batons et de filet. Leur but : enlever des enfants. Julien se battit avec un panache incroyable, utilisant tout ce qui était à portée (en l'occurence des casseroles) pour se battre, Iossef et Isham jouèrent du couteau, Nikolai se battit comme un ours et moi, j'arrivai au bout d'un moment à me métamorphoser en...

Un homme s'enfuyait, en chariot, emmenant les enfants... Un cheval "pyeryem" -

en fait Shandor s'était lancé sur ses traces, et Iossef aussi. Entre bonds, course, etc. finalement nous parvinmes tous trois à encercler le chariot. Je bondis sur le cocher et crotch. Isossef prit les renes et Shandor bloqua le cheval.


Je n'allais pas le alisser comme ça tout de même!!!
Je l'ai donc embarqué avec nous. De retour au camp, après quelques regards de remerciements, nous nous retrouvâmes tous les six sous la tente.
Grande question "on fait quoi" ? Le pouquoi du comment on reste ou on part, je laisse Iossef le raconter, mais même après hésitation, je décidai aussi qu'il valait mieux s'en aller. Je voulais simplement expliquer à Betshado pourquoi. C'est la raison pour laquelle je me rendis sur la plage, et retrouvai... Ostelinda. Il y a des choses qui se doivent de rester privées, dans ce que peuvent se dire des femmes, mais ce qui est sûr, c'est que nous nous quittâmes amies. Avec l'éventualité peut-être de nosu revoir à Sousdal.

petit corrigé évidemment pour les prénoms

Bachado et Joska
et non pas Betshado et Josca

Bref en passant voici donc quelques têtes :

Joska qui est violoniste mais aussi docteur (illus de M. Delon)


Et Ostelinda equi est entre autre danseuse (illus de M. Delon):

Anis saison 2
(d'après Furiae... rendons à césar...)

ah ouais...quand meme :lgift:

fablyrr a écrit:

ah ouais...quand meme :lgift:

Eh oui... Tout de suite, ça fait réfléchir, non ?

Et Iossef qui, au détour de sa première visite du camp, sujet à une intense fatigue et à un doute quant à son avenir, qui croise Josca... comment dire? Comme un rayon de bonheur pour l'ancien pirate ! (presque :lgift: ) Il faut dire que le jeune homme a été pas mal secoué, depuis son incarcération, jusqu'au sauvetage... franchement mordant !

Très bonne reprise, Monsieur !

merci mais je persiste , c'est Joska

Sue le chemin du retour, un corbeau nous a remis un message "le tigre blanc hiberne"... OK. Super... Qui, que quoi comment, nous n'avons pas tardé à l'apprendre. Alors que nous étions en vue de Sousdal, 5 cavaliers débarquent genre "ce sont eux", etc. "Mot de passe ?" Instinctivement, je réponds "le tigre blanc hiberne" et là, ils nous remettent un mot à remettre en mains propres au gouverneur. Et d'ajouter, avant de nous laisser "si vosu n'êtes pas revenus avant le cocuher du soleil, vous serez considérés comme des sousdaliens"... Qui que quoi comment ? la grande idée étant d'ouvrir la lettre... Bon, d'abord, nous prîmes la direction de la demeure de Valentino Villanova. Fermée. Au Secretum, personne... A part deux panneaux "servez-vous" et "payez"... (Où est passé Provda ?...) Finalement, nous sommes allés chez le beau-père de Iossef (en villégiature à Pavtlow avec sa nouvelle épouse). Le domestique était ravi de retrouver Iossef - après une minute d'hésitation "mais vous êtes mort!" etc. Julian commença à s'habituer à être muet et je décidai d'ouvrir la lettre, non sans avoir au préalable pris un bain et épilé mes jambes. Et bien m'en prit, d'ailleurs. Après cela, je lus, à haute voix... La missive venait du frère du knias Douma, Bersekov, et intimait l'ordre très poliment au gouverneur de donner à l'aube les clefs de la ville, sinon, siège. J'ai donc envoyé un pigeon (et ses petits camarades, aisément ralliés après un "les aigles arrivent"... ) prévenir les Basulde du siège de Sousdal, puis après avoir fait porter urgemment un message à vaclav, nous nous sommes rendus chez le gouverneur. Aussi charismatique qu'un plat de spaghetti de la mama vieux d'une semaine, aussi aimable qu'une porte de prison - et je sais de quoi je parle. A la sortie, Vaclav nous attendait.
C'est là que ça a un peu commencé à dégénrer. Enfin, je me suis un peu beaucoup mise en colère. Et je sais bien que cela n'est pas de sa faute. C'est lui le vrai gouverneur de la ville et il a quatre mille tonnes de trucs à gérer en plus de devoir être loyal envers sa famille, mais bon. Au bout d'un moment, le côté "je ne peux rien pour vous", "il faut vous faire discrets", "le Mondavi est puissant, bouuuh" et "Quand on prie Matushka, elle fait rien", ça a fini par me faire sortir de mes gonds. Je sais, ce n'est pas juste et je m'en veux terriblement après coup, mais là, il fallait que cela sorte. J'en avais assez de cette ville où les gens prenaient une mentalité de vendelars, et Matushka, elle avait été là pendant deux ans, et personne n'avait fait attention, et au lieu de se plaindre, ils feraient mieux, tous de l'honorer et d'éviter les trafics de fourrure et autres et que c'était complètement ahurissant qu'une pauvre bâtarde comme moi soit celle qui fasse ce genre de trucs, etc. Entre deux, j'avais essayer de lui expliquer qu'Andrea était la femme qu'il lui fallait mais "baazah, elle est Mondavi maintenant" ben ok, mais fallait réagir plus tôt, hein!!!!? Du coup, complètement écoeurée, je suis aprtie et iossef aussi, on s'est donné rdv le lendemain à l'aube, j'avais dans l'idée d'aller sous ma forme de lapin d'aller espionner... Mais bon, cela ne s'est pas passé comme prévu. Je laisse iossef vous raconter ce passage... En fait, nous sommes convenus de nous retrouver à la nostalgia, après qu'il ait retrouvé sa fille... Moi, j'ai retrouvé... Bianca Senseverino, la courtisane qui m'a formée.



C'est là que je me suis rendu compte que j'avais vraiment eu raison de m'épiler et prendre un bain.... Bref, Bianca étant à la retraite, retirée officiellement de la politique, elle décida néanmoins de m'aider - après un verre de Lion d'or 1664, dont j'étais bien en peine de profiter parce que complètement bouleversée. Il faut dire que ce qui était également affreux était que gianni en aimait une autre, mais bon, l'ensemble était assez perturbant comme ça. Encore une personne auprès de laquelle il me faudra m'excuser, parce que complètement "à côté de mes chaussures" que je n'avais pas vraiment en ma taille d'ailleurs. Bianca m'a fourni une robe, du poison, des conseils accompagnés d'un sombre crétine assez mérité je dois dire, puis j'ai été chez valentino. IL ETAIT LA!!!!!!! Nous avons passé du temps à discuter et manger, avec un peu de grappa, il m'a expliqué que son prince lui avait écrit : il envoyait des courtisanes, pour l'aider, mais il avait intérêt à n pas échouer sinon... Glupss. Surtout que c'est moi qui avais écrit à l'école de courtisanes Villanova. Bref, après tout cela, nous somems allés à la Nostalgia, où il y avait Iossef... Et un poète comédien nommé Tristano... Un couard - LE couard - avec qui j'avais eu ma première nuit. Envopyé par la femme de gianni, il séduisait et bavardait en se montrant. Beurk.
Bref, Arturo nous a rejoint, pour donner des nouvelles d'Alexia, tutti quanti... Et nous nous sommes finalemtn séparés, avec rdv avant l'aube chez Iossef pour se rendre du côté de l'ennemi. Momo - mon chien - allait bien et s'est vautré au pied du lit... Un lit, un vrai.

to be continued...

Donc...
Après une vraie nuit dans un vrai lit, un vrai petit déjeuner, avec du vrai café, du vrai jus d'orange... un Momo épuisé par la journée qui l'attend et un Valentino, plutôt content de me voir et c'était réciproque. Puis nous nous somes mis en route. Arrivés chez le beau-père de Iossef, nous nous sommes donc réunis - Julian, Iossef Valentino et moi (Julian ayant du mal à être muet ) pour aller espionner. En termes d'espionnage : bwouf, des archers à cheval, un colosse sorcier Pyeryem, de la poix et du feu, des catapultes. Rien de très réjouissant. De retour sur place, nous sommes allés trouver le seul stratège de notre connaissance - Fenrir! Lui aussi se montra ravi de nous retrouver. Une fois la situation expliquée, il décida d'aller se proposer comme général au gouverneur (qui n'avait pas bougé de son palais) - sur la route, l'idée était de recruter des volontaires, des gens, etc. Milan est venu nous aider, et puis de Secretum en quartier croissantin, en passant par les fauborugs, nous nous sommes retrouvés à plus de 200 devant le palais. Comme le gouverneur était en pourparlers et peu décidé à sortir, on a commencé à l'appeler. 200 personnes qui hurlent "gouverneur" "gouverneur", il ne pouvait pas faire autrement que venir nous parler. Ce qu'il a fait, brièvement, depuis son balcon avec une jolie langue de bois.
Il a été ensuite convenu de chercher des fonds pour aider - plutôt aider cette fois les réfugiés, par exemple, Milan et Irina sont allés voir du côté des nobles, nous, du côté des ambassades. A commencer par les Bernouilli. C'est l'Atropos Carla Bernouilli qui nous a reçus. Ne pouvant nous aider et avec des arguments assez convaincants, elle a néanmoins proposé de nous tierer les cartes. J'ai accepté.

Spoiler:

Du coup, après nous sommes allés voir l'état des réfugiés - l'idée était de prendre la température et voir ce qui était posible de faire. Nous avons croisé la route de Iuuri le Bienveillant, qui escorté de Tyomnys tentait d'aller sur place. Impossible d'avancer avec la foule, j'ai donc pris les devants, me suis métamorphosée en panthère des neiges

histoire de lui faire un peu de place. Du coup, j'ai passé l'après midi avec lui, à faire "drapeau matushkesque". Iossef, lui, a récupéré une réfugiée et deux Vesten gardes du corps (il racontera).

Le soir venu, finalement, Fenrir avait rassemblé 250 personnes et ce sont 250 personnes qui ont fait une sortie dans l'armée adverse. Bon, résultats des courses : nous étions 250, nous en avons éliminé un millier et au retour, nous n'étions plus que 60. Mais aviosn vaincu 1/5 de l'armée ennemie.
Phases suivantes : récupérer des vivres, vêtements et premiers secours pour les réfugiés et, je pense, voir à essayer de saboter les navires...

Entre deux : retourner voir Bianca, avec quelques "mignardises" de l'Archipel de Minuit, par exemple ou autres et surtout la mettre en garde.

Oui c'était du grand art; PLein d'imprévus pour MJ
Donc oui Iossef a rencontré une personne :

Iossef, de retour à Sousdal, s'est précipité à l'auberge où logeait sa fille et la mère de celle-ci. Or, sur la route, c'est une agression qui l'attendait... et de taille ! Malmené, sur le point de tomber, un "ninja-turban" s'est interposé... avce panache et une efficacité redoutable... avant de fuir... :evil: (ça, c'est Iossef qui interpellait l'inconnu barré en équilibre sur un balcon).

Plus tard l'anonyme s'est dévoilé: son père, qu'il a "vu" mourrir ! Le capitaine pirate s'est simplement évaporé dans la nature, pour fuir ses créanciers et ses ennemis.
Le choc a été fort, pour le jeune chanteur.

Nous retiendrons également que le spadassin a donné de la voix, façon hymne, pour aider à réunir et motiver les "troupes"; qu'il accueille chez lui une belle demoiselle ( ), extraite du bidonville des réfugiés, pour s'assurer la participation de frères vestenmanyars aux batailles à venir; que sa première bataille rangée a été un massacre dont il se souviendra longtemps... et qu'il a compris qu'il était prêt à donner sa vie pour une cause: Sousdal.

Ca risque d'en jeter un max !

oui il a trouvé ca dans son répertoir Iossef :

https://www.youtube.com/watch?v=pB5x6cDMjao&feature=related

Anis, c'était plutôt ça :
https://www.youtube.com/watch?v=eH2xCxl-BS8

Notre maj tant adoré nous a donné de très bons moments, lors de cette dernière session !

Après une très mauvaise nuit...

Je voulais emmener Valentino voir Bianca Senseverino, pour présentations et aussi pour la prévenir de ce que m'a révélé Carla Bernouilli. Elle risque de se faire empoisonner.
Cela dit, à huit heures du matin... Les courtisanes dorment, à cette heure-ci.
La grande idée étant d'aller donc faire une collecte pour aider les réfugiés. En chemin, nous avons croisé Iossef - étant allé voir Fenrir de bon matin, il a appris que nous étions recherchés par les stelets. L'ambassade Hainzl nous offrait protection et hospitalité. Outre le fait que le côté mélodramatique a eu le don de m'agacer, je n'ai aucune envie de me cacher. En fait, ma seule crainte était savoir si Valentino risquait des problèmes en m'hébergeant. Comme apparemment, il part du principe qu'il n'a rien à perdre...
Nous sommes tout de même allés voir Fenrir, savoir que faire, etc.
Après accueil fort courtois et discussions, il a été décidé d'essayer d'aller récupérer des volontaires sur le port, et puis de faire cette fichue collecte...
Marché blindé, bagarres, etc. Finalement nous sommes arrivés directement sur les quais. j'ai retrouvé sans trop de difficultés mes deux "amis", Iuri et Milo, deux marins pêcheurs fort gentils.. Qui otn accepté de réunir du monde et nous ont parlé d'un pirate à quai et pas content de l'être, Serguei l'écarlate. Soit. Iossef, sentant son côté moussaillon se réveiller, nous dit qu'il se charge de négocier.
Imaginez un gamin de vingt ans, à peine, plutôt du genre Will Turner que Jack Sparrow, décidant de jouer aux durs avec de VRAIS méchants qui puent... Et vas-y que je t'insulte, te menace, perds mon sang-froid... Le pirate en chef, Serguei l'écarlate, dit aussi Serguei pieds qui puent, de lui accorder un rdv s'il tue le tenancier avec lequel il était en conflit. Iossef, noble, refuse (logique). Serguei le tue. Pas Iossef, le tenancier. Et là, c'est reparti pour une floppée d'insultes, qui se finit par Iossef dévoilant l'identité de son père, que sa mère est en vie à un type qui manifestement n'est pas l'ami de la famille...

Ca a donné un truc comme ça.

Et un beau chaos, entre moi condamnée sous forme de panthère à tenter de faire diversion, Iossef à terre et lardé de coup de sabre, Valentino faisant le vide pour nous frayer un passage vers la sortie... Finalement, le père de Iossef a débarqué pour nous permettre de fuir.
Direction : le médecin cathayan. Qui a donc soigné et Iossef, et moi... Et pour 100 altynis (de Valentino et moi) a accepté d'aller prodiguer des soins aux réfugiés. pas gratuitement, pas par altruisme, hein.
Au moins, il y est allé... Faut voir le côté positif. Ensuite, retour au port, avec mes amis qui ont trouvé 4 personnes pour aider, et un baril de friture... RDV, église saint nicolas. Pour permettre à l'église de convoyer le tout du côté des réfugiés. Eglise qui avait eu fort à faire le matin même, puisque l'ennemi avait trouvé bon de crucifier dix personnes le matin même, dix pauvres gens qui avaient tenté de fuir. Fenrir a donc demandé au différents pères, etc. d'user de leur immunité pour aller décrocher les malheureux. A guerre des nerfs et de moral... Nous avons récupéré une de leurs bannières!! Que faire avec ? Les narguer!!!
Bref, nous étions en pleine discussion sur la place,à réceptionner les dons, quand est arrivé mon isham avec 3 dromadaires chargés de biens. "cadeau de l'ambassade". (il nous a d'ailleurs appris que racluro Mondavi avait ouvert quelques entrepots au peuple). Amabassade qui a d'ailleurs fourni un homme - selon lui le meilleur stratège de la place... Mais bon, vu qu'il y avait Fenrir...
Puis sont arrivés les stelets. Là ça a été un grand moment, puisqu'ils voulaient nous arrêter, Iossef et moi. parce ce que nous étions "suspects" dans l'histoire de la prison. (on l'aurait fait auter).
Je ne epux résister à rapporter mon morceau de bravoure, il en faut bien un de temps à autre.
"Monsieur, nous n'allons pas nous envoler, donc, accordez-moi quelques minutes de votre temps, puis le baron Fenrir parlera. (groumpf). Bien, il y a deux solutions. Soit nous avons fait sauter Trubeskoy... mais... regardez-nous... dans ce cas, cela remet en cause la sécurité et l'efficacité de la prison. Soit ce n'est pas nous, et voici ce qui s'est passé. L'orage violent et bizarre qui s'est déclenché il y a quelques jours a inondé les cellules et provoqué l'effondrement des sols. iossef et moi avons donc profité du chaos pour fuir. Nous avons tenté d'aider des prisonniers qui se noyaient. Nous avons aussi tenté de retrouver les animaux qui combattaient dans l'arène. Ah, parce qu'il faut savoir que les geôliers organisaient des combats entre prisonniers, certes mais aussi entre prisonniers et animaux sauvages, capturés et blessés. Sans doute des ours qui avaient volé du miel dans un arbre ou quelque chose comme ça. D'animaux, hélas, il n'y avaiit plus rien à sauver, d'autant que les geôliers avaient versé un liquide du genre poix ou huile sur l'eau... et mis le feu. Il y a eu une émeute. Le capitaine et ses hommes ont mis le feu aux poudres pour être sûrs qu'il n'y aurait pas de survivants. Malheureusement, nous fûmes quelques uns à sauter sur le pont du navire et nous battre. Le navire a coulé. La mer les a engloutis jusqu'au dernier. Et iossef et moi avons survécu." Le stelets, un peu ébranlés, on décrété prendre ça en note, mais... Alors fenir a pris la parole, expliqué que nous étions sous la protection de l'ambassade de hainzl, l'une des deux seules à même de négocier pour la Eisen ces histoires de drahceneisen et que de toutes façons, il faudrait lui passer sur le corps (bardé de dracheneisen) s'ils voulaient nous attraper...
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Iossef a eu l'idée de prendre des canons de navires pour défendre les murailles. Je le laisse raconter sa partie.
Valentino et moi avons été désignés (et nous nous sommes portés) volontaires pour aller piquer des bannières sur leur terrain. L'idée étant qu'un petit lapin n'est pas très visible. J'ai essayé de ramener d'autres mages susceptibles d'être discrets. Nadja, qui se transforme en et Irina, en . Un petit tour au palazzo de Valentino histoire d'être présentables, et nous voici devant la porte des Esquiliytich. reçus par la mère de Vaclav. Et une Nadja muette.
La discussion a été polie, courtoise, la mère de vaclav a écouté mon récit d'évasion - assez édulcoré - en buvant le thé et nous a donné vingt hommes anonymes pour aider. Nadja n'a pas ouvert la bouche.
Quant à Irina, nous avons été accueillis par une vielle bique désagréable, j'en ai eu assez. Assez de devoir demander, assez d'être traitée comme une souillon, ou au mieux une personne dont on aimerait mieux être débarrassée... Donc nous voici partis à deux, valentino et moi, traquer la bannière et saboter les rangs ennemis.

et oui des fois on ne se rend pas bien compte des possibilités d'un lapin

De l'art de la dédramatisation!!!

Un vol de bannière qui se transforme en vol de chevaux... de guerre!
Une inimitié naissante avec un Croissantin traditionaliste... une nuit d'angoisse à attendre serrée contre Momo le retour de Valentino... Sans compter les passages comiques (involontaires) en mode Bunny... Plus de détails bientôt, très bientôt...

j'espere meme si moi aussi je suis très occuppé en ce moment.
Mais il est vrai que le vol de bannière 10 fois plus grande que ta taille lapin était assez excellent

On n'oubliera pas non plus du coté de Iossef le feu d'artifice géant pour faire diversion et la prise de conscience que cela devait être prévu pour quelqu'un d'autre... probablement de très riche vu le

Bon, il y avait cette immense bannière. Un truc de fantassins, je crois. Je me suis dit : "tu sautes, tu t'accroches au sommet, tu ronges avec tes quenottes, tu fais tomber le truc et tu avises... Seul problème, quand on est toute petite, avec de longues oreilles, ce n'est pas très pratique. d'autant que je sentais des odeurs de ragout. De lapin. Glups.
De glups, c'est devenu catastrophique quand j'ai fini accrochée par les dents et les pattes de devant à un accroc sur la bannière,avec une hachette m'arrivant droit dessus... Heureusement, Ostelinda était dans le coin et sous sa forme de chouette, m'a sauvée de ces brutes. Un atterrissage dans le sable plus tard, elle m'apprenait que sa mère avait décidé de payer la dette des Basulde envers nous et donc avait négocié avec 300 cavaliers Kosars.
Les Kosars devant venir en renforts le lendemain. Il nous fallait tenir une journée. En attendant, je décidai de retourner vers le camp ennemi. Sous forme humaine. J'y étais arrivée quand ... des feux d'artifice éliminèrent le ciel, créant une diversion fort à propos. J'en profitais donc pour ouvrir un enclos, sauter sur le dos d'un des chevaux de guerre, et me voici, après avoir passé quelques instant à le convaincre, à foncer au triple galop, une trentaine de chevaux à ma suite, dans le campement - finalement, arrivée loin des lignes ennemies, il n'y en avait plsu que vingt. Et j'imagine dans le camp un beau bordel et des cavaliers mécontents. Pendant ce temps, Valentino, beaucoup plus subtil, usait de ruses et autres compétences discrètes pour dérober une bannière. Accueillie à l'entrée de la ville par un Croissantin juché sur son cheval aussi détestable que lui, qui tenta juste de m'empêcher de passer, avant de prendre la tête du "cortège", chose que je n'ai pas laissé faire plus de quelques secondes. Mon destrier et moi nous sommes rapidement portés à ses côtés... Et puis quoi encore ?J'ai emmené les chevaux à ce que je croyais être le QG qui était jsute l'ambassade - hans, l'homme de main de Fenrir, notre général, a accepté de les garder et nourrir. Après, j'ai filé jusqu'au port, à L'huitre bleue pour prévenir Fenrir des derniers événements et commencer à angoisser à propos de Valentino. Puis en sortant j'ai retrouvé Iossef, en grande discussion avec Braslyn et quelques minutes après, son rival en lutte Yorak (le rival de braslyn, pas de Iossef).

Je laisse Lacenaire raconter cette magnifique confrontation.

Après être allée tenir compagnie à Isham, qui s'ennuyait ferme du côté des murailles, je suis rentrée chez Valentino. Passé une sale nuit, blottie contre mon chien. Valentino est rentré à l'aube, un peu amoché et heureux détenteur d'une bannière. Cet homme est merveilleux.
Un passage chez les Cathayans, auprès d'un apothicaire à peu près aussi aimable qu'une porte de prison (c'est dire)... Je suis passée remettre la bannière à Fenrir. Puis répandre une fausse rumeur via le père Ilya près de mon ancien quartier. j'en ai profité pour me confesser et discuter un peu avec lui.

Retour chez Valentino, massage, lui est allé voir des contacts pour fausse rumeuriser, moi je me suis rendu à l'ambassade hainzl, en attendant le crépuscule.

oui au niveau bannière c'est quand meme de ce style là :



Sinon pour l'impro du nom de l'auberge pour rester dans le thème portuaire c'est juste issu de là :

ok!!!

Au soir de la bataille, nous étions rassemblés au pied des "murailles" - les bouts de fortifications opportunément armées de canons - et comptions les troupes... Isham, Valentino, Milan, Fenrir, Julian, Abdel Akram et une dizaine d'autres, dont deux femmes, une jeune mage Pyeryem nommée Alicia et la cavalière croissantine peu commode. A cela moins d'une centaine d'hommes.
Autant dire que nous courions au massacre. Bon gré, mal gré. Et puis, au moment où Fenrir expliquait le plan : charge, retraite derrière les murailles, puis re-attaque en comptant sur les kosars... 500 hommes sont arrivés, à leur tête, Vaclav venu au nom de sa famille soutenir Sousdal (en fait Milan a convaincu les Esquilyitch de s'impliquer politiquement s'ils ne voulaient pas que Racluro Mondavi et sa vieille peau piquent le siège de sénéchal).
Métamorphosée en panthère des neiges, je me suis jetée dans la mêlée.

Entre deux coups de crocs, j'ai vu un homme, un messager partir comme une flèche, porteur d'un ordre. Je me suis lancée à sa poursuite. Puis il a passé un relais et un homme est parti, porteur d'une torche.... Je l'ai rattrapé juste au pied d'une sorte de tourelle, une tourelle servant d'alerte en fait et je l'ai tué avant qu'il ne parvienne à donner l'alarme... aux quatre navires de guerre stationnés dans la baie. Puis, je suis revenue vers le gros de la bataille, Fenrir donnant l'ordre du repli. c'est alors que les Kosars sont arrivés, une horde de 300 cavaliers chargeant.
Dans la foulée, j'ai vu un archer viser leur chef - un arc énorme, un trait prêt à partir... J'ai bondi, face à lui, m'attendant à être transpercée à la place du kozar - et peu importait d'ailleurs. Je me suis retrouvée juchée sur un cadavre, un arc brisé dans la gueule.
Nous les avons mis en déroute, finalement. Les assiégeants étaient battus, et bien battus - Sousdal poursuivait sa légende d'imprenable.
Pour leur aide, les kosars ont demandé des richesses et de la nourriture. Là encore la famille Esquilyitch a pris les choses en main. Un peu sonnée après cette victoire, après m'être assurée que tout le monde allait bien - ie. Isham, Julian, etc. - je suis allée voir Vaclav, afin de lui proposer les chevaux de guerre, pour payer les Kosars. En fait non - mais cela nous a permis de discuter un peu. Comme il se montrait inquiet, parce que iossef et moi étions toujours recherchés par les Stelets, je lui ai répondu : cela ne m'empêche pas de dormir. Ce qui l'a un peu surpris, d'autant selon lui que je risquais ma vie. No comment... il m' invitée à passer le lendemain au palais du gouverneur, avec iossef, pour essayer de régler l'histoire. Je me suis mise en quête de Iossef (et valentino). J'ai d'abord vu Fenrir, avec lequel j'ai pu discuter un peu et puis, finalement, Valentino et moi sommes entrés. RDV avec Iossef, le lendemain donc à 11h devant le palais du gouverneur.
Je ne savais pas ce qui nous attendais, mais j'ai fait de mon mieux pour être sublime, honorant ainsi aussi mon école de courtisanes. Robe bleu nuit, tissus aériens et décolleté - j'ai même mis un masque. La robe n'était pas neuve, mais le masque, ici à Sousdal, était une première... Sur la place, devant le palais, une foule était massée. J'ai même vu le Patriarche, qui a répondu à mon salut et m'a remerciée.
A l'intérieur, nous avons traversé une immense salle, où était massée la noblesse, les ambassades, tout ce petit monde chuchotant et cancanant sur notre passage...

On s'y fait. L'important est de garder la tête haute.
On nous a fait rentrer dans une pièce, meublée à la croissantine. Il y avait d'abord Vaclav. Puis le gouverneur est arrivé. A commencé à énumérer, quoi que gentiment, la liste de "crimes" dont nous étions coupables ou pas mais quand même... Et puis, là, des tentures, a surgi le Knias Douma.
Qui a expliqué que nous étions en fait en mission pour lui et pour mettre a jour un odieux trafic d'animaux et donc servir mMatushka et aussi que nous avions levé uen armé sur ses ordres, et que donc, ce n'était pas une grâce mais une reconnaissance qu'il fallait!!!!!
Ok, cette sortie théâtrale lui permettait aussi de s'en tirer la tête haute, tout en nous lavant complètement de tout soupçon (pour une fois, le statut a son importance), mais cela avait quelque chose de surréaliste et d'autant plus que nous avons été nommés "vyeche" - ce qui donne une voix au conseil des vyeche de la ville et fait de nous des "gentilshommes" à la mode montaginoise (ok, c'est déplacé, là). Valcav est donc allé annoncer la nouvelle... Puis nous avons fait notre entrée. :lgift:
C'est assez drôle, de voir à quel point quelques mots et un peu de réputation - sauvetage de ville, être sous la protection du knias douma, être "un titre" - change l'attitude des gens... Les premiers à être venus nous saluer ont été les Falisci- l'ambassadeur et son épouse, belle comme un coeur et couverte de bijoux. Une (re) prise de contact intéressante, le temps d'échanger quelques propos politiques et voilés, le temps aussi puisque Iossef parlait d'opéra - il a une belle voix - et de son professeur de chant - Nadja - pour moi de glisser, d'un ton courtois, qu'il la trouverait certainement auprès de l'ambassadeur Vestini. Histoire moi aussi de glisser quelques propos politiques (et oui, je suis absente mais je sais... ) Après quoi, peu après l'arrivée de la soeur de Vaclav, Anastasia, je suis allée saluer Gualterio Bernouilli. Plus faible, effectivement. Toussant. Las de sa courtisane, qu'il a envoyé chercher un verre d'eau le temps de me parler. Je suis restée un peu discuter - disons que sa femme et lui sont des personnes que j'apprécie et je suis assez inquiète.
Sa courtisane (Maria - qui donc essaie de l'empoisonner) est revenue, je les ai donc quittés sur une promesse de se voir bientôt (avec Bianca) puis suis tombée sur la fille du knias douma qui s'est mis en tête d'épouser Mika, l'homme pour qui une femme passée les 18 ans n'a plus d'utilité - un ennemi. Sauf que là, je n'ai pas tant insisté pour la mettre en garde. Je crois que j'en ai un peu assez de cela. Elle est partie du haut de ses quinze ans avec un "grandissez un peu", je lui laisse le soin de grandir de son côté. Puis l'ambassadeur du croissant n°2 (Isham quelque chose) m'a abodée et au fil de la discussion, m'a appris qu'il savait ce qui se passait avec l'ambassade Bernouilli. Résultat, je suis endettée auprès de lui mais cela vaut le coup : je sais que maria utilise des herbes affaiblissantes pour le tuer à petit feu et qu'elle se fournit auprès de Lindsay, une prostituée des 3 roses.
Prochaine étape : prévenir sa femme et aller voir Lindsay.
Après quelques temps encore, j'ai décidé de partir, considérant que j'avais déjà assez offert de ma présence à l'assemblée.
Et l'ambassadeur Vestini n'est pas venu me saluer.

hi hi
et oui en plus avec le prochain titre de mon scénar ca va être très riche de féminité je sens :evil: